Resident evil : a decent to hell

Chapitre 5 : l'éveil de la folie

Toujours dans la pièce où se trouvait mes équipements, la recherche d'un clown perdu. Je pouvais entendre la respiration de Freya s'accélérer, elle tenait tremblante ton couteau.

La musique sinistre s'arrête brusquement laissant un silence oppressant s'installer dans l'air . Freya le chien et moi restions immobiles nos cœurs battant la chamade alors qu'un écho lointain nous parvient . C'était un rire un rire de clown effrayant et dérangeant, on pouvais ressentir la folie et la noirceur de se dernier a travers son rire.

Nous échangeâmes un regard inquiet et d'un pas hésitant nous nous dirigeons vers l'origine de ce son macabre. Les murs du couloir semble se refermer sur nous comme s'ils tentaient de nous empêcher d'avancer. La lumière de nos lampes torches vacillait projetant des ombres effrayantes autour de nous.

Au fur et à mesure que nous nous enfoncions dans le corridor le rire se faisait de plus en plus fort. Les murs étaient maintenant couverts de peinture écaillée et des affiches de cirque défraîchies pendaient de chaque côté. C'était comme si cet endroit avait été abandonné depuis des décennies.

Soudain nous aperçûmes une tache de couleurs vives au bout du couloir. Une silhouette morbide se dessina arborant un sourire terrifiant et des yeux malicieux fixant le néant. Le clown semblait appartenir à un autre monde à un cirque maudit.

Notre instinct de survie nous disait de faire demi-tour de fuir cet endroit lugubre mais une étrange fascination nous retenait. Nous nous approchâmes prudemment nos pas résonnant dans le silence oppressant.

Le clown restait immobile nous observant d'un regard insaisissable. Son sourire maléfique ne quittait pas ses lèvres peintes accentuant l'atmosphère sinistre qui régnait autour de lui. La lumière vacillante accentuait les ombres sur son visage déformé.

"Fuyez tant que vous le pouvez ... marmonna-t-il d'une voix grinçante brisant le silence macabre.

Nous échangions un regard notre peur s'intensifiant encore plus. Mais quelque chose nous poussait à ne pas abandonner. Freya s'avança courageusement le chien dans ses pas. Je serrai de mes mains mon pistolet déterminé à affronter ce qui nous attendait.

"Qui es-tu ?" demanda Freya d'une voix tremblante.

Le clown éclata soudainement de rire un rire froid et dérangeant qui résonnait dans tout le couloir. Les murs semblaient vibrer en écho à sa folie. Puis il pointa son doigt osseux vers une porte décrépite au bout du couloir.

"Trouvez ce que vous cherchez là-bas si vous avez le courage dit-il d'une voix dérangeante révélant une sinistre satisfaction dans ses yeux cruels. Puis il disparaît dans l'ombre, laissant juste les coups de son rire macabre.

Sans un mot nous prenons le pas vers la porte laissant derrière nous le rire du clown résonner dans nos pensées. Alors que nous franchissions le Seuil, on aperçoit ce qui semble être une vielle chambre d'enfant remplie de poupée en porcelaine.

On pouvait sentir leur regard vide, pointer vers nous.

À mesure que nous pénétrions dans la chambre d'enfant, un frisson glacial parcourait notre échine. Les poupées en porcelaine semblaient nous observer de leurs yeux vides, comme si elles étaient conscientes de notre présence. Leur silence était oppressant, et l'air semblait s'alourdir autour de nous.

Freya et moi échangions un regard empli d'appréhension, mais nous savions que nous devions continuer. Nous fouillons le chambre , faisant attention à ne pas déranger les poupées qui semblaient prêtes à s'animer à tout moment.

Au centre de la pièce, nous remarquâmes une vieille commode en bois qui semblais pas être la quant on est rentrée ,elle est recouverte de poussière et ornée de motifs usés par le temps. C'était étrangement calme, à part le léger grincement du plancher sous nos pas.