Bonjour à tous et à toutes,
Je me présente sous mon nom de plume, Mystigrie. Je suis plutôt débutante dans l'écriture, et j'espère que vous serez cléments avec moi pour les incohérences ou les fautes d'orthographe. Je tiens à dire que cette histoire est importante pour moi car c'est la première fois que j'écris sérieusement et que je publie.
Par ailleurs, cette histoire contient des sujets explicites qui pourraient choquer certains lecteurs comme le suicide ou des actes de violence verbales et physiques. Cette œuvre s'adresse donc à un public averti. Si cela vous convient et que vous avez accepté ces conditions, je vous propose de commencer l'histoire...
◇
J'avais rendez-vous avec lui.
On avait pris cette habitude de se
retrouver le jeudi soir après les
cours pour aller sur le terrain
vague et jouer au football.
S'amuser comme tout enfant de
notre âge. Parfois c'était
tous les deux, d'autres fois avec
d'autres gamins du quartier.
La fin de la journée était
terminée, et je n'attendais plus
que de le retrouver. Je longeais
les ruelles sombres de la ville à
peine éclairées par quelques
lampadaires grésillants. Les rues,
toujours mal entretenues,
offraient une atmosphère peu
rassurante pour les personnes
non habituées. Elles respiraient
la pauvreté des lieux et des
habitants et n'étaient pas
l'endroit le plus sûr pour les
femmes, et encore moins les
jeunes filles, mais je m'en
fichais. J'avais réussi à me faire
un nom, et, par mes
fréquentations et mes
compétences, on évitait de
m'approcher de trop près. J'étais
presque arrivée, quand deux
hommes me bousculent, c'était
plutôt habituel. Je ne m'alerte pas
plus que ça. Enfin à mon point de
rendez-vous, j'aperçois un corps
étendu au sol. Je le reconnais.
C'est le sien. Je me précipite vers
lui. Il est à peine conscient. Son
teint est terriblement blême. Son
sang se vide au niveau du
poumon droit, sa respiration est
saccadée. Je tente de bloquer
l'hémorragie et d'appeler les
secours. Mon cœur s'accélère
dans la précipitation.
Malheureusement, il est trop tard
et il a juste le temps de souffler
un nom :
-Martin Saul...
"Vivre, c'est la chose la plus rare de monde. La plupart des gens ne font qu'exister." -Oscar Wilde-
◇
Alors ce prologue, vous en pensez quoi ?
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La reine, c'est moi !
De TodoOn dit que quand une femme se venge, le diable s'assoie et prend des notes. Mais quand le diable est une femme, que se passe-t-il alors ? La vengeance n'est-elle pas deux fois plus forte ? Voici quelques avertissements sur moi : Si l'on tente de m'...