Amor Vincit Omnia "Si ton âme Oublie la mienne..."

Eva

(ecouter blood water)

Sous-sol, 5 h 55, salle des tortures

J'étais là, assise sur une chaise de bois, devant cet incapable de Wayne, qui est ligoté sur une chaise et, qui est encore dans les vapes, en attendant qu'Isaac revienne avec de l'essence, et pendant ce temps, je réfléchissais à la meilleure des manière de réveiller ma prochaine victime.

Trouver... Je me lève, sors de la salle, et reviens avec un seau d'eau chaude à en brûler, je me place devant lui, et là... Je lui jette le seau a la figure ce qui a pour réaction, un réveil immédiat avec des cris, qui je le pense ne sont sûrement pas des cris de joie. Sa peau a pris une teinte de rouge/rose.

- Ah, j'adore réveiller le gens comme ça ! Tu sais, c'est un privilège d'avoir un putain de réveil comme ça... Dis-je ironiquement.

- Putain ! Sale pute, j'aurais dû te tuer...

- À la seule pute, ici, elle est attachée sur une chaise comme un gros con ! Bref, cessons de blablater et que les réjouissances commence !

- Tu ne sais pas à qui tu as l'affaire, tu vas sombrer si tu continues sur la même voie, il te tuera, tu n'es qu'une effrontée, une jeune rebelle, qui veut se faire un peu de monnaie, mais tu ne te rends pas compte des forces ou des organisations que tu défis ! Cria -t-il

Je suis perdue, il est là parce que je les attraper en train de mettre une putain de bombes dans mon QG. Je déteste la trahison, si quelqu'un ose me trahir, il finira par de rejoindre l'enfer en feu. Ah non... Non... Et si tous ça était prévu et s'il était exactement où on lui avait demandé de se rendre, et si ... C'était lui qui avait orchestré tout ça.

- Putain... Dis -je tout bas

Je ne pouvais pas lui montrer que j'étais troublé alors je décidais de continuer ma séance, ou de la débuter vraiment sans prendre garde à ses mots. Comme on dit, on ne peut éviter l'inévitable.

Je me dire vers une armoire,l'armoire qui garde au chaud tous mes petits bijoux, d'un simple pistolet, a un poignard, a des petits jouets de tortures. Je l'ouvre prend mon briquet favori, car je sais qu'Isaac ne tardera pas, je prends aussi mon poignard préféré, celui dont la lame était gravée par une citation.

Je me dirige vers lui et sans pitié, je le plante au niveau de la cuisse.

Il ne réagit pas, et gardes ses pupilles encrer dans les miens, en me défiant à travers son regard... Bien, alors s'il veut jouer, on va jouer !

J'enlève tout en douceur la lame, pour qu'il se délecte de sa propre douleur pour qu'il ressente la même souffrance que j'ai ressentie quand celui qui a orchestré tout cela m'a... Non, je dois m reprendre.

Le sang coule de sa cuisse, elle s'écoule au sol. Je me rapproche de lui, surtout de son visage.

- NON...NON ... EV... Je t'en supplie ne me fait pas ça, je te dirais tout promis.

- T'inquiètes pas Waynou, je sais déjà tout.

Je lève ma main qui détient le poignard et trace grâce à sa pointe deux trait, qui partent de l'arcade sourcilière et finissent à l'extrémité de ses lèvres. Ils hurlent , cris sa douleur au monde, mais malheureusement pour lui et heureusement pour moi personne ne peut le sauver.

- Regarde comme tu es plus beau comme ça Wayne, on dirait le joker , tu sais, c'était mon idole.dit je

- Je vais te tuer salope hurle -t-il

Et la... Putain... Je lâche un rire de psychopathe. (Vous voyez le rire du joker, bah, c'es le même rire.)

- La seule personne qui va crever en cette belle matinée, c'est toi Wayne ! Alors ta gueule et profite de tes derniers instants.