Tu dois vivre { Sukuna x Oc }

10 janvier 1010

PDV Yuriko :

Sa fesait plus de 8 mois que nous avons fuit mon clan. Sukuna ne devrait rentrer dans une où deux heures. Je decidas de lui préparer son repas préféré. Je me mis sans plus tarder au fournos. Soudainement, j'entendis la porte d'entrée s'ouvrir, Sukuna était déjà de retour ? Je m'avansa vers ka porte en demandant confuse.

- Mon cœur, c'est toi ?

Aucune réponse... Je decidas d'aller voir par moi même. Dès que j'entras dans le salon, mon sang se glaça. Devant moi se tenait 20 membre du clan zenin. Ils nous avait retrouver et j'allais prendre cher, très cher... Deux grands hommes me plaquerent violemment au sol.  Un me tenait les mains, l'autre les pieds. Ils me jetaient tous des regards remplis de mepris et de degout. Tout ce qui comptais pour moi, était que Sukuna ne soit pas la. Un viel homme s'avansa vers moi et déroula une feuille de papier pour la lire.

- Yuriko Zenin, vous avez, protégez, nourrit, soignez et aidez à fiur l'ennemie de votre propre clan ! Après une longue discutions, vois êtes condamnée...
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A la peine de mort !

Mes yeux s'ecarquillerent, j'avais peure, pourtant, je devais m'y attendre. J"?'inspiras profondément. Mon père s'avansa vers moi arme d'un couteau et le dit froidement.

- A cause de toi et de ta stupidité, le clan Gojo se moque de nous ! Tu n'es qu'un accident, tu n'aurais jamais dû exister !

Cette fois je n'allais pas flancher ! Je lui crachas au visage se qui eu pour effet de l'énerver encore plus. La lame me transpersa à trois reprise le ventre et je cria de douleur. Malgré sa, mon père comptinua. La douleur était insoutenable alors je kachas une larme, puis deux, puis trois... Un goût de fer et à la fous amer apparu dans ma bouche. Je crachas du sang. Ma vue cimmzbsa à se flotter et ma respiration à devenir compliquer. Les pressions sur mes bras et mes gammes avaient disparu. Mon clan était partit, me laissant la pour morte. Soudainement, je repensa à cette personne que j'aimais et qui m'aimait rn retour. Ryomen Sukuna... Il s'était ouvert à moi et je m'atais ouverte à lui. Je ne pouvais pas mourir sans lui laisser une dernière parole, je devait rassembler mes dernière forces pour lui...