CHAPITRE 32

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3 jours après, 10h27

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3 jours après, 10h27

Psychologue : Le choc a été fort. Vivre deux choses aussi compliqué de manière consécutive et avec un laps de temps aussi court n'est pas évident.

Moi : J'ai l'impression que tout me tombe dessus. C'est comme si mon monde s'écroulait.

Psychologue : C'est normal de le penser mais ce n'est pas ce qui se passe. Vous devez sûrement sentir de la solitude j'imagine ?

Moi : Exactement. Pourtant, je suis tout le temps entourée. J'ai une très grande famille et ils font tous attention à moi. J'ai l'impression d'être égoïste.

Psychologue : Cette solitude s'est installé parce que vous êtes la seule à vivre ce que vous venez de vivre en même pas de mois...

10h50

J'avais enfin finis. Je descendis de l'immeuble et rejoignis Omar dans sa voiture car il m'avait attendu.

Omar : Alors ? Ça s'est bien passé ?

Moi : Oui, on peut dire ça.

Omar : Ça t'aide vraiment cette merde là ?

Moi : Je n'en sais rien Omar. C'était seulement le premier rendez-vous. C'est mon père qui m'a forcé à y aller. Bref... Sinon la police ça avance ?

Omar : Doucement mais sûrement. La seule chose dont on est sûr c'est que c'est un meurtre par balle.

Moi : De tout façon, toi et moi on sait qui a fait ça.

Je baissa la tête pour ne pas montré ma douleur qui commençait à se dessiner sur mon visage.

Omar: Tant qu'ils ne sont pas sûr, on ne peut rien dire Hada.

Moi : Alors, espérons qu'il le trouve vite.

Omar : Ouais... Tu veux un Starbucks avant que je te redépose chez toi ?

Moi : Oui ! Merci !

Omar : Epargnes-moi de tes sauts d'humeur par pitié. On fait vite je dois bosser.

Après avoir fini de fumer, il démarra la voiture puis roula jusqu'au Starbucks. J'avais pris un latté et un cookie au chocolat blanc puis il me déposa chez moi après cela.

Nous nous disions au revoir puis je remonta à la maison. Fallait voir le monde qu'il y avait chez moi. A peine j'entre-ouvris la porte, que celle-ci se permis de me faire une réflexion.

Sephora : C'est pas parce que t'es malade et que tu as le droit de manger, que tu peux te permettre de manger devant nous qui sommes entrain de jeûner pour mon frère enfaite.

Je crois qu'elle a oublié chez qui elle était celle-là. Si elle a faim je vais lui faire manger mon poing, elle me tape vraiment sur le caillou cette vieille meuf.

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