« 𝐍𝐢𝐠𝐡𝐭𝐬 𝐰𝐢𝐭𝐡 𝐦𝐞 »

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Kaiser

Si j'avais su que je me retrouverais maintenant à coucher avec cette jolie fille dépressive au lieu de m'entraîner à jouer, peut-être aurais-je réfléchi à deux fois avant de me laisser submerger par ces nuits avec elle.

Une autre nuit avec Y/n, nous voilà dans son lit après avoir coucher ensemble. Comme à son habitude, Y/n prit ses médicaments avant de fumer. Je restais dans son lit, ne voulant pas bouger et rester avec elle. Le fait de passer des nuits avec elle me plaît, elle ne s'accroche pas, ne se lasse pas et quand l'autre a besoin d'une nuit de sexe, nous somme toujours là. On ne parle pas de nous, on baise juste et on part.

Voilà notre relation.

— Tu sort avec quelqu'un Kaiser ? Questionna Y/n, fumant sa cigarette en regardant le plafond dans un regard sans émotions. Sa réaction me laissa surpris, me demandant qu'elle me demande cela maintenant, seulement après avoir passé plusieurs nuits avec elle.

— Pourquoi ? Ça dérange ? La taquinais-je, pour voir sa réaction mais elle ne laissait rien paraître.

— Pas vraiment, même si je fais partie d'une de tes conquêtes, fermait-elle les yeux en fumant sa cigarette doucement.

— Tu n'es pas une conquête, soupirais-je, avant de lever les yeux au ciels.

— Je suis quoi ?

— Juste une fille avec qui je passes mes nuits au Japon, avouais-je alors que je reprenais ma respiration.

— Je vois, exprima-t-elle sans une once de ton dans sa voix.

Y/n ne laissait jamais paraître des émotions sauf quand j'ai des rapports avec elle, mais seul l'excitation est le sentiment qu'elle montre.

C'est ca la dépression ? Je ne sais pas ce que c'est, peut importe ce qu'on nous dit.

A l'école, et notamment au collège et au lycée, des interventions sont faits, et la plupart parlait des idées noir et de la dépression. Ils nous disaient tous la même chose: « Si vous avez un de vos proches qui reflètent des symptômes de dépression, n'hésitez pas à le conseiller d'aller voir une psychologue ! » avait dit la jeune femme de mes souvenirs alors que ça ne m'intéressait pas vraiment ce genre d'intervention.

Non, parce que je trouvais le fait que la dépression était bizarre, bien au contraire, juste que ça m'ennuyait ce genre de choses car ils sont les premiers à donner des conseils mais lorsqu'on signale cela, cela nous sort des excuses.

Tous des hypocrites.

« Si vous avez quelqu'un qui a des signes de suicide ! Allez le signalez à un adulte, c'est très important d'aller aider l'adolescent ! Cela peut éviter un suicide dans le monde ! », avait dit l'homme de mes souvenirs alors qu'un terminale avait sauter du toit au lycée. Il se faisait harceler mais bien sûr, les professeurs fermaient les yeux pour ça et maintenant, voilà où on arrives.

Ils sont tous bizarres.

En soupirant, je tournais ma tête vers le côté droit oú il n'y avait pas Y/n avant de lui répondre:

— Non, je sors avec personne, j'aime pas les relations sérieuse, confiais-je à Y/n qui continuait à fumer avant de sortir une autre cigarette de son paquet.

— Pareil, surtout que personne n'aimerai s'occuper d'une dépressif de mon genre, confiait-elle à son tour avant que j'entends un soupire de son coté.

— Je trouve les relations sérieuses trop prise de têtes. Je veux dire, tu te lasseras sûrement un jour ou un autre de la personne et puis si tu vas ailleurs, tu vas avoir toute ta vie que tu as trompé cette personne dans la conscience, soufflais-je avant de fermer les yeux, voulant ne pas penser à ce genre de choses trop prises de têtes. Soit tu couches avec quelqu'un et tu peux la revoir soit tu ne la vois plus. Tu peux aller à un date et profiter de cela sans revoir la personne, avouais-je avant d'enlever ces pensées de mon cerveau. J'entendais la respiration de Y/n, le fait qu'elle rejetait la fumée, l'aspirer et remplissais sa chambre de ça.

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𝑁𝑖𝑔ℎ𝑡𝑠 𝑤𝑖𝑡ℎ 𝑌𝑜𝑢 | 𝐊𝐚𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐱 𝐑𝐞𝐚𝐝𝐞𝐫Où les histoires vivent. Découvrez maintenant