Ilyès
J'étais avec sabri il était venu à l'entraînent m'a fille elle est à la crèche on la récupère Rayan ils nous appellent
Lui : allô vous êtes où là
Moi : on sort du centre ville
Lui : galère sabri Sarah elle a frappé maman ce matin et maman elle a appelle camélia
Sabri : et camélia elle est déjà à la maison
Lui : w'allah sabri elle est monter dans le première train elle va la tuer vite va les séparer
Sabri : qu'elle lui nique bien sa mère elle se prend pour qui pour toucher maman
Rayan : PUTZIN FAIR PAS LE CON J ARRIVE LUI REGLE SÔ COMPTE MAIS CAMÉLIA DLLE VA SAH L'ENVOYER Z L'HÔPITAL SABRI
j'ai roulé à fond jusque chez camé je voulais la voir moi on monte en courant la femme à sabri elle est rentré dans le sud avec leur fille
On toque sa mère elle ouvre sabri il la prend ans ces bras elle pleurait ma vie je vais où elles étaient entrain de se taper dessus camélia elle avait la rage elle lui faisait la même chose que Rayan il lui a fait quelque mois avant sabri il arrive on les sépare je ramène camé au salon avec ma fille et elle m'a pas reconnue j'en suis sûre ben j'ai changé physiquement je pense
Elle se débattait de mes bras mais quand je prend son visage dans mes mains elle croise mon regard et se stoppe elle a arrêté tout mouvement
Moi : calme toi
Elle se retire de mes bras son frère il arrive au salon
Elle : sabri
Lui : princesse
Il la sert dans ces bras elle commence à pleurer
Elle : pk tu ma laisser
Lui : smeh ma vie w'allah je pars plus je reviens habiter près de vous
Elle sourit qu'est ce qu'elle est belle elle a pas changer elle a juste encore plus embellie alors qu'elle était déjà magnifique
Elle : tu ma laisser avec le fou
Il rigole
Lui : qu'est ce que t es parti faire à Toulouse toi
Elle : moi aussi je voulais prendre un nouveau départ
Il sourit et la sert fort dans ces bras sa mère elle arrive ils font un câlin à 3 je porte ma fille camé elle lève la tête vers moi et baisse le regard sur ma fille avant de détourne son regard au bout d'une heur elle est parti dans sa chambre dormir
Sabri : elle embelli tjr autant cette conasse
Je sourire on a manger