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SIHEM

📍Turquie,Kocaeli

Après ce bref regard de ça part mon père a suggéré à Lokman de m'emmener à dinner demain soir.

Lokman a directement accepté avec joie, sans plus attendre Lokman a continué à parler après la bref apparition de mon père, je n'ai même pas prêté attention a ceux qu'il disait j'étais plutôt loin, dans mes pensées.

Tout cela m'arrive vraiment ? Ou ce n'est juste qu'un cauchemar ? Je voudrais pouvoir sourire sincèrement, le bonheur n'est peut être pas fait pour moi.

Je sent..... une chaleur ce déposer sur ma joue gauche, ce qui me fait sortir de mes pensées.

Lokman: Tout va bien? *me questionne-t'il d'un regard inquiet.

Je secoue la tête en affirmant que tout allait bien, je remarque part la suite que ça main est posée sur mon visage c'était donc la source de chaleur.

Lokman: Si tout va bien tu m'explique pourquoi tu pleures?

-Je ne pleure pas.

Il continue ces caresses sur ma pommette, son pouce effleure ma paupière.

Lokman: Est ça ?! C'est pas une larme?

Je regarde sont doigt, humide par la larme que j'ai versé sans m'en rendre compte.

J'ai baissé la tête, pour ne plus confronter sont regard inquiet, je n'ai pas besoin de ça pitié ou de sont aide je n'est besoin de rien.

Lokman: Tu sais on va pas aller vite, on peut prendre notre temps pour mieux nous connaître fin moi je te connais mais toi...

-Ce n'ai pas ça * dit-je en lui coupant la parole.

Lokman: Ce n'ai pas de ma faute?

Oui est Non tu n'ai pas l'élément majeur de mon mal être mais tu en fais parti désormais tu est un problème en plus dans la liste. Je relève la tête est je souris faussement.

-Ne t'inquiète pas ça m'arrive de verser une larme je pensée a un truc.

Lokman: Ça me rassure! J'ai vraiment crue que c'était ma faute ah oui! je disais...

Je ne sais vraiment plus quoi penser, de la vie, je n'ai pas de rêve, en réalité je n'ai jamais rêvé, de pouvoir posséder quelques chose il me suffisait juste de le regarder est j'en étais déjà comblé. Je ne suis pas heureuse mais j'ai un toit, de quoi me nourrir et des vêtements c'est déjà beaucoup et puis je ne les mérite pas.

Lokman:.....Donc voilà! Tu est d'accord?

Je ne t'ai pas écouté.

——

La soirée c'est terminé ainsi, après leurs départ mon père m'a appelé dans son bureau, avant de monté j'ai jeté un coup d'œil à ma mère, affalé sur le canapé les yeux fermés, elle dormait, j'ai pris de quoi la couvrir puis je me suis diriger dans ces bureau.

Mon père: Ferme la porte!* dit-il assez sèchement.

Je m'exécute est viens me placer en face de cette grand table en bois, assez vintage je dirais qu'elle a une vingtaine d'années , assis sur sont fauteuil en cuir les bras allonger sur les accoudoirs il me dévisage.

Mon père: 1 Semaines! * atteste-t'il.

Je le regarde perdu, je ne soutiens pas mon regard plus longtemps par peur qu'il n'abatte son poing dans ma figure.

Mon père: 1 semaine! * répète-il avec le même timbre de voix. Pour les fiançailles *finit-il part dire.

- Suis- je obliger?

Sans même lever les yeux, je resant ça colère, pas besoin d'avoir une réponse de ça part sont aura négatif qui remplie la pièce me suffit.

Le silence persiste, je voudrais au moins en être sûr de ça décision final.
La porte toc après un certain temps mon père ce lève pour ouvrir la porte, je remarque que sont visage dur comme la pierre c'est adoucit à la minute où il a ouvert cette porte.

....:Papa je suis de retour!, j'avais besoin de Sihem pour un devoir mais je ne la trouve pas.

Mon père: Entre mon fils* en l'invitant dans sont bureau.

Quand les yeux d'Ali tombe dans les miens il court me prendre dans ces bras.

Ali: Je t'es chercher partout!

Il est là seul personne pour qui je reste encore en vie, s'il n'aurait pas était la je pense que....

Mon père: Moi je vais t'aider Ali, toi sort de suite.* déclare -t'il agacé en me pointant du doigt.

Je sort enfin de cette fâcheuse situation je descends pour réveiller ma mère mais à mon arrivée au salon elle n'était plus allonger sur le canapé, je suis donc monté dans notre chambre, découvrant qu'elle est assis sur le lit face a la fenêtre c'est l'une de ces habitudes.

Je m'assois à ces côtés est contemple le croissant de lune avec elle.

Ma mère: Tu devrais accepter.* dit-elle d'une voix affaibli.

-Je n'ai pas le choix.

Ma mère: Personnes n'a eu le choix.

Après ça réponse assez ambigu elle c'est allongé pour dormir, j'ai pris place à c'est côté en réfléchissant à ça phrase.

"Personnes n'a eut le choix"

Qui n'a pas eu le choix ?, ma mère ? mon père ?

Après mûr réflexion j'ai décidé de dormir est de ne pas y penser parfois elle dit des chose qui ne sont pas cohérente, elle fait des chose inexplicable parfois non souvent.

Je ferme enfin les yeux, pour quelques heure de paix et tranquillité les seul que j'ai d'ailleurs.

Lokman pourrait être celui qui me fera ressentir ce sentiment, celui qui ne sait jamais manifester, être aimé.

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Kader:Le Destin Nous A Réunis.

 𝐊𝐚𝐝𝐞𝐫: 𝐋𝐞 𝐃𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐀 𝐑é𝐮𝐧𝐢𝐬Où les histoires vivent. Découvrez maintenant