𝐊𝐚𝐝𝐞𝐫: 𝐋𝐞 𝐃𝐞𝐬𝐭𝐢𝐧 𝐍𝐨𝐮𝐬 𝐀 𝐑é𝐮𝐧𝐢𝐬

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SIHEM

📍 France,Villa des Yildiz.

Nous sommes rentré en France après " notre séjour en Turquie ". Ma routine ne change pas je m'occupe de ma mère et d'Ali.

Aujourd'hui j'ai reçu un message de Lokman,

"Lokman: Je suis rentré en France vient passé le week-ends chez nous. Je viens te chercher à 18 heure pile."

Avoir reçu un message de ça part m'a fait froid dans le dos, ça fait 3 semaines qu'il ne m'a plus contacté depuis mon retour en France.

Je ne veux vraiment pas le voir.

Je suis en cuisine, prépare le dîner de ce soir, tout en me faisant des films sur ce qu'il pourrait ce passer ce week-ends si je le passait avec Lokman.

Que peut-il ce passer ?

Il pourrait lever la main sur moi?

Ou même....

Mon père: Tu n'entends pas ?

Ça voix me fait sortir de mes pensées.

-oui *dit je d'une petite voix.

Il attrape une pomme du panier à fruit et dit:

-Tu est prête pour ce soir?

Prête pour ce soir?

-Je .....oui.

Mon père: Bien! Dit-il en croquant dans ça pomme. Tu passera le week-ends comme prévu chez eux, je ne veux pas entendre de mauvaise chose à ton sujet je préfère te prévenir, et je te rappelle que tu dois tous à Lokman.

Que je quoi?!

Après sont avertissement il est sorti de la cuisine, j'ai terminé de tout préparer et je suis monter arranger quelques affaires dans une valise pour ce week-ends.

Les heures, les minutes et les secondes défile, après avoir terminé avec mes affaires je me suis assise sur mon lit livre à la main mais je n'ai fais que fixer l'horloge tout ce temps.

Je ne serai décrire mon ressenti en ce moment, je sais juste que j'ai un mauvais pressentiment.

La porte de ma chambre s'ouvre sur ma mère, les yeux gonflés et cernés ce pose sur ma silhouette, elle reste pendant un instant comme cela à scruter mon corps.

Ma mère: Tu n'en a pas besoin *s'exprime t'elle d'une voix fluette.

Elle tourne vers la porte pour sortir.

Ma mère: Un lourd chagrin dorénavant partagé.

Elle finit par sortir tout en fermant la porte d'une délicatesse que je ne connaissais pas chez elle.

" Un lourd chagrin dorénavant partagé "

Je ne comprends pas grand chose à ces paroles souvent énigmatiques les une des autres.

Je n'ai aucun souvenir de mon enfance, ils commencent dans mes années de collège, je pourrais dire quelles sont les plus belles mais aussi les plus horribles que j'ai vécu dans ma vie le reste n'est juste que des journées monotone comme celle d'aujourd'hui.