𝒮𝓊𝑔𝒶𝓇𝒷𝒶𝒷𝓎 || 𝙱𝙾𝙽𝚃𝙴𝙽 (𝐓𝐫𝐚𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐅𝐑)

1 - Deja vu

Merci à l'auteure de l'histoire originale -Seraphiel

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La vue de tes joues rougies, tes yeux à demi-clos et de tes lèvres entrouvertes a hypnotisé les clients qui t'ont réservé cette heure-là. Tu étais la strip-teaseuse la plus demandée là-bas mais pour de bonnes raisons aussi. Ton talent était bien au-dessus des autres, étant capable d'étourdir ton public sans trop d'efforts.

Tu étais si belle et si envoûtante.

Dès que la musique a commencé à s'estomper, tu t'es retourné et tu as lentement marché vers l'arrière en t'assurant que tu avais l'air hot et sexy tout en le faisant. La personne qui te faisait travailler là-bas, Nana, t'as félicité pour cette énorme performance fantastique. De toutes les filles qui travaillaient là-bas, tu étais sa préférée. Non pas qu'elle ait un problème avec les autres filles, elles étaient toutes gentilles avec toi au moins. Mais ton lien avec Nana était différent. Et c'est peut-être parce qu'elle était là quand tu n'avais personne que tu étais là quand elle a presque tout perdu.

"Va te reposer maintenant, ma chérie." Nana t'as dit doucement, ses yeux étaient chaleureux comme d'habitude. Même si elle avait à peine dix ans de plus que toi, elle agissait comme ta mère. Et comme tu n'avais vraiment personne que tu pouvais appeler maman, tu l'as traitée comme telle.

Que se passe-t-il ?

"Alors, je rentrerai la maison en premier." Tu as répondu en lui donnant un faux sourire, te sentant un peu étourdi. "Ne te surcharge pas."

N'ai-je pas déjà vécu cela ? Ou est-ce que je ne me sens comme ça parce que je l'ai déjà fait tant de fois ?

Nana a insisté et t'as poussé de manière ludique à changer de vêtements. Il était près de onze heures du soir, c'était à peu près à cette là que tu sortais du travail. Bien qu'il y ait des moments où tu restais encore plus tard pour obtenir plus d'argent. C'était la seule chose qui t'as poussé à continuer, l'argent. Tu avais besoin d'argent pour vivre payer ton école. Même si tu n'avais pas de parents ou de frères et sœurs sur lesquels compter, tu tenais à terminer l'université.

Juste au moment où tu avais fini de te changer, tu entendis plusieurs coups de feu à l'extérieur et beaucoup de cris.

N'ouvre pas la porte.

En te demandant ce qu'il se passait, tu as lentement ouvert la porte et tu es sorti. Personne n'était près des vestiaires, à ton plus grand soulagement. Pourtant, cela ne signifiait pas que tu étais à l'abri de tout ce qu'il se passait.

« Des coups de feu ? Je devrais probablement rester ici...." te chuchotes-tu à toi-même.

Tes battements de cœur était devenus erratiques lorsque ton corps commençait à bouger tout seul.

Non, n'y va pas.

"Qu'est-ce que c'est que ce...?" Tu murmurais dans la confusion.

Tu te retrouva dans un conflit intérieur. Tu ne voulais pas enquêter davantage, mais en même temps, tu avais l'impression que tu devais le faire.

Prudemment, tu as marché jusqu'à la zone principale du club. Il y avait un gars dos à toi, pointant une arme à feu vers l'homme devant lui. Tu as agis sans réfléchir, par instinct,  donnant un coup de pied à la tête du gars avec toute la force que tu pouvais rassembler en espérant que ce serait suffisant pour l'assommer.

Attention !

Tu as eu l'idée de te décaler immédiatement sur le côté, alors tu l'as fait, il frappa presque le côté de ta tête manquant de t'assommer