2

77 1 0
                                    

C'est mon frère qui m'a réveiller.

Nahim : Mais Almi tu joues à quoi la ? Fallait pas sortir.

J'étais dans les vapes mdrrr je comprenais rien.

Rayan : OH ALMIRA FRÈRE.

Il a dit ça en me bousculant.

Lui il m'a bien réveiller par contre.

Moi : QUOI ? C'EST VOUS QUI ÊTES PARTIS JE NE SAIS OÙ POUR FAIRE JE NE SAIS QUOI SANS RIEN ME DIRE ET C'EST SUR MOI QU'ON CRIE ?

Islem : Arrête de parler fort comme ça, tu m'fais mal au crâne.

Quand c'est mon frère qui hurle il dit rien, mais quand c'est moi il se permet de faire un petit commentaire ? Je vais bien crier une deuxième fois alors.

J'aurais pu dire 1 millions de choses, mais j'ai
préférée dire celle qui aurait pu causer ma perte.

Moi : VAS-Y, FERME TA GUEULE TOI AUSSI.

J'ai rien dans la tête.

Nahim : Tu parles comment toi ? Il a dit ça en me donnant une petite tapette derrière la tête.

Islem était silencieux, mais il respirait très fort et très lentement.

Je savais même pas ou j'étais. En temps normal je serais sortie de la voiture en claquant la porte comme une timbrée. Mais la, je pouvais pas.

Je suis allée à l'arrière avec beaucoup de difficulté et Rayan est monté devant avec Islem. Je me retrouvais donc avec Nahim.

Un des 3 aurait quand même pu m'aider a me déplacer.

J'ai fermé la portière et Islem a démarrer.

Nahim : La prochaine fois que tu parles comme ça à un de mes shab, j'te casse la bouche, t'as compris ? Il a dit ça en chuchotant mais c'était pas du tout discret. Je suis certaine que les deux autres ont entendus mais bon, c'est pas ce qui m'importait le plus.

J'ai pris mon téléphone et j'ai appelé ma mère, elle s'inquiétait beaucoup pour moi.

Moi : Tu vas bien mama ?

Mama : Almira, j'ai eu très peur pour toi..

Moi : Smeh, mais t'en fais pas, je suis en sécurité.

Mama : Et tu vas bien ?

Moi : Oui, Al Hamdoulilah.

Mama : Et tes frères, ils vont bien ? Tu sais où ils sont ? T'es où Almira.. Je m'inquiète beaucoup.

J'étais en haut parleur donc Nahim, Rayan ainsi qu'Islem entendaient.

Nahim a prit mon téléphone et il a répondu à ma place.

Nahim : Elle est avec nous.

J'ai entendu ma mère crier mais il a raccrocher.

Moi : Ah ouais donc ta mère s'inquiète pour toi, et toi tu raccroches ? Super la mentalité.

Nahim : Eh azi Almira, ferme la. Tu sais rien du tout.

Moi : Et toi tu sais que mama venait la nuit en pleure dans ma chambre pendant que vous vous faisiez vos merdes ? Non tu sais pas parce que t'es jamais là.

Chronique d'Almira : « Une raison d'y croire »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant