Une nouvelle romance dans l'hôtel hazbin ?
Lucifer, le puissant et redouté roi des Enfers, et Alastor, le redoutable et mystérieux démon radio, étaient depuis toujours des ennemis jurés. Leurs chemins se croisaient rarement, mais à chaque rencontre...
Bonsoir ! Ceci n'est pas un chapitre, mais une annonce ! Je compte sortir une nouvelle romance intitulée 'L'empreinte du crime', qui raconte l'histoire d'amour entre un barman et un chef de la mafia. Je vais partager le début du premier chapitre qui sera publié demain :
L'ange de la Nuit Le néon de "Nuit Éternelle" clignotait comme un vieil oncle un peu ivre lors d'une réunion de famille, projetant des ombres dignes d'un bal des vampires sur les murs de la boîte de nuit. Moi, Samaël Darkwood, j'étais là, en train d'essuyer ce comptoir usé jusqu'à la corde avec un chiffon qui avait dû voir plus de cocktails que le roi de la jungle n'a vu de feuilles de palmier. À 22 ans, j'étais déjà un visage aussi familier que la chanson de la "Macarena" dans ce monde nocturne, un pilier de la vie nocturne de la ville. Et honnêtement, je ne savais toujours pas si c'était un honneur ou une malédiction. Cette assemblée hétéroclite dans la boîte de nuit semblait à des années-lumière de l'univers dans lequel j'avais rêvé d'évoluer. Né dans une famille pauvre, j'avais toujours nourri l'ambition de m'élever au-dessus de ma condition modeste et de devenir quelqu'un d'aussi célèbre que le mec qui a inventé le bacon. Mais pour l'instant, j'étais aussi loin du compte qu'un pingouin dans le désert. Je me rappelle encore avec amertume les luttes de mon enfance. Ma mère, Merinda Darkwood, avait sombré dans la détresse après la mort prématurée de mon père, me laissant avec plus de stigmates que la carte des guerres de Game of Thrones. Mais bon, malgré tout ça, j'ai réussi à garder la tête haute, même si je ressemblais parfois à un palmier dans une tempête. Mon esprit avait toujours été habité par des rêves ambitieux. Astronaute, cascadeur, chef cuisinier... j'ai eu des ambitions aussi variées que les parfums de glace chez le glacier du coin. Mais bon, ces rêves avaient été écrabouillés plus violemment que ma tête contre le comptoir un soir de trop. Et maintenant, me voilà, derrière ce comptoir de bar, à servir des cocktails à des inconnus bruyants qui pensent probablement que je suis une version moins glamour de Tom Cruise dans "Cocktail". Les regards condescendants et les réprimandes des clients arrogants étaient monnaie courante, mais j'ai toujours gardé mon calme et ma dignité, même si parfois j'avais envie de verser le contenu du shaker sur la tête de certains. Alors que j'essuyais distraitement le comptoir, mes pensées furent interrompues par l'arrivée d'un homme énigmatique. Grand, bronzé et richement vêtu, il exsudait une aura de pouvoir et de mystère qui aurait fait pâlir même Indiana Jones. Je me suis demandé brièvement s'il allait encore me demander une faveur gratuite, mais l'apparence de l'homme laissait présager autre chose. Et là, bingo, il me demande une bouteille de Mendis Coconut Brandy comme si c'était un café à emporter. Je me suis mordu la lèvre, conscient de l'ironie de la situation. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais face à un client prétentieux, mais quelque chose chez cet homme le troublait plus que de coutume. Il avait l'air sûr de lui comme un chat qui vient de manger un canari, et ça, ça m'intriguait. "Faites, apportez-le à ma table, la 208," ordonna-t-il, me coupant dans mes pensées comme un ninja dans la nuit. Je suis resté là, stupéfait, tandis que l'homme se dirigeait vers un coin VIP, me laissant avec plus de questions dans la tête que le nombre de gouttes de sueur sur le front de Donald Trump lors d'un discours.
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