La vie privée d'une célébrité

Le 25

Scar : Tu pense qu'on a fait une bêtise hier ?

Moi : J'en sais rien, mais au moins on c'est retenu d'ouvrir les cadeaux.

Scar : C'est vrai ça, les cadeaux ! J'avais oublié.

Moi : Allons les ouvrir.

On s'assoie devant le grand sapin de Scarlett.

Scar : Toi d'abord.

Moi : Si tu veux.

J'ouvre une petite boîte carré. Non croyez pas c'est une bague. C'est un joli petit collier. Je la regarde.

Moi : Merci ! Il est vraiment très beau.

Scar : Contente qu'il te plaise alors.

Moi : À toi.

Scar : Une boîte dans une boîte qui elle aussi est dans une boîte.

Oui j'ai osé faire cette blague de merde. En même temps c'est trop drôle, si vous verrez sa tête ! Je me marre !

Scar : T'es une enfant T/p.

Moi : Je sais.

Scar : Ya quelque chose au moins à la fin ?

Moi : Oui, alors dépêche toi d'ouvrir.

Elle ouvre, ouvre et encore ouvre, jusqu'à tomber sur une petite enveloppe.

Scar : Ya quoi dedans ? De l'argent ? Des photos de toi ? Mm une lettre de démission ?

Moi : Non, non et encore non.

Scar : Bon, j'ouvre alors.

Elle me regarde le sourir aux lèvres.

Scar : C'est pas vrai !

Moi : Si c'est vrai !

Elle saute dans mes bras et on reste comme ça quelques secondes. Sentir son parfum m'apaise. On se retire l'une de l'autre.

Scar : Et où m'emmène tu avec ces billets ?

Moi : Surpriiiiisssse.

Scar : Oh non, tu peux pas me laisser dans le flou ! Donne moi au moin un indice.

Moi : Ok, un indice. Il fait très beau.

Scar : C'est pas vraiment un indice mais cool, ce temps commencait à d'éteindre sur mon humeur.

Moi : J'avais remarqué.

Scar : Et ! C'est pas gentil ça.

Moi : Je rigoleuhh.

Scar : J'espère bien.

Moi : Allez faut qu'on se prépare.

Je part en haut dans ma chambre. Je me déshabille et rentre dans la douche. Mais je sens quelqu'un me rejoindre. C'est Scarlett. Elle m'embrasse et entre deux baisers je réplique.

Moi : Non Scarlett, on va être en retard.

Scar : On s'en fou c'est t'es parents, ils comprendront.

Moi : Mm...

Elle se colle à moi et commence à me faire des bisous dans le cou.

Moi : Décidément je ne peux céder avec toi.

Elle arrête ces bisous pour me regarder et je l'embrasse. Je la pousse contre le mur, mes mains parcours sont magnifiques corps. Et on se fait plaisir.

Une fois prête nous prenons la route.
On arrive chez moi. Ma mère ouvre la porte.

Mam's : Joyeux Noël ! Entrez donc.