Rassuré mikasa (4)

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Levi

* pff, je soupir a ces prochains grondements de tonnerre qui m'attend,

me dis je moi-même car oui je vais devoir expliquer à ma fille concernant la personne qui viendra s'occuper d'elle. Et je me doute très bien de son désaccord que je m'y prépare mentalement. Pensant déjà à ce qui m'attend car effectivement ma fille me ressemblant très portrait. Et de plus à mon caractère de merde comme cette folle me le dis souvent,

* ta fille a ton caractère de merde alors assume et bon courage,

voilà ce que cette quatre yeux me balance quand je désespère de devoir annoncé des nouvelles pas très réjouissant pour mikasa. Mais d'un autre côté je suis ravi et plutôt rassuré qu'elle est héritée. Elle pourra très bien envoyé chier qui que se soit si elle ne veut pas. Rajoutant à cela elle déteste les personnes qu'elle ne connait pas. Même si ma fille est très douce et chaleureuse si en l'a connait bien. Pour le moment je préfère l'a laissée encore profiter de sa dernière tentation que j'ai dû recevoir d'urgence de Paris. Oui...oui c'est bien l'étalage de princesses avec tous ce qui s'ajoute avec. Mais je sais que parfois elle s'ennuie d'être seule à jouer avec. N'arrivant pas à s'entendre ou se faire même une camarade et je me doute très bien que c'est dû à moi. Mon nom est très connu ici est ma réputation d'homme froid, impassible et sans âme. Tous le monde le sait est je suis satisfait de cette image que je renvoie dans la société. Mais ma princesse empathie est sa c'est pas se dont je voulais pour elle. Alors je me dis que c'est donc les autres enfants qui sont pas des vrai amis. Je soupir une seconde fois en l'entendant désormais me rejoindre,

* bonjour, mon pounet,

me dis mikasa en venant me rejoindre à la cuisine, je l'a regarde est lui sourit en me baissant,

* bonjour, ma fille bien dormi,

elle me fit un câlin accompagné d'un bisous sur ma joue et je la lève dans mes bras,

* hum, j'ai encore jouée avec mes poupées dans la cabane de princesses,

je lui hoche la tête et l'installe sur sa chaise, lui remettant son petit déjeuner. Elle commence à le prendre en chantonnant une de ces chansons de princesses. Je sourit en l'écoutant, c'est notre rituel de chaque matin depuis que sa mère ne vient plus. Donc je la laisse tout en surveillant qu'elle n'avale pas de travers. Je me demande si handji va trouver une personne de confiance. Car j'ai beau lui faire confiance mais là, je laisse comme même ma fille auprès d'inconnus. Quel merde, ce changement est dû à que je vais devoir retourner très bientôt au bureau. Au vu que sa fait deux an que je travaille de chez moi et mikasa n'avait que trois ans à ce moment là. Donc j'allais encore au bureau et elle se retrouver à la crèche. Mais dès c'est trois ans ou elle pouvait se rendre à l'école, j'ai mis en place ce processus du prof à la maison. Étant moi-même là donc je pouvais voir qui débarquer et surtout surveiller la façon dont il travaillait avec ma fille. Mais là je vais devoir entre parenthèses réfléchir à la mettre dans une école. Seulement j'hésite dû à la saleté merdique du travail fait par les employés de ménage. Je sais c'est ridicule mais c'est comme ça et pas autrement. Peut être une école privé, je vais devoir me renseigner et non loin de mes bureaux. Je sort de mes réflexions par la voix de ma fille,

Celui Qui Fait Mon Bonheur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant