Dois Je Y Croire (17)

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Levi

Trois mois....oui trois putin de mois que Eren vis avec nous ici chez moi. Niveau travail je n'est rien à redire mikasa je l'a voit sourire de plus en plus. Ce qui m'a un peu chamboulé au début car c'était vraiment bizarre. Surtout que de base, elle est comme moi sans expression mais là c'est carrément pas normal. Je devrais être content que ma fille s'exprime de cette manière c'est une preuve qu'elle s'ouvre. Mais je sais pas c'est comme si les barrières que j'ai mis pour qu'elle se protège s'effondre. Et c'est cela qui me dérange, j'ai toujours fait en sorte qu'elle puisse être implacable. Pourtant depuis que Jaeger s'occupe d'elle c'est plus réellement pareille. Non parlant pas de moi qui ressens comme une attirance envers lui. Son regard est hypnotisant que j'ai dû mal à m'en défaire dès que je le croise. Nous prenons nos repas du soir ensembles ainsi que le petit déjeuner com.... comme une petite famille. Mais c'est impossible Eren est là pour travailler et je dois aucunement avoir ce genre de sensations. Je ne dois pas retombé dans ce piège qui m'a déjà trahi énormément de fois. Donc la solution a été simple pendant deux semaines je rentrer plus tard. Le soucis c'est que je me rendais pas compte que ma fille en souffrait. Alors que mon seul but était pas de lui faire du mal à elle non aucunement. Mais je remercie Eren car malgré tous, il a réussi à me faire l'entendre le problème que mikasa ressentait. Je me rends compte qu'il se préoccupe réellement de ma fille et qu'il s'inquiète. La façon dont il m'a dit m'a fait réaliser que c'était stupide de ma part. Car même lui ne sait pas pourquoi donc je devais simplement m'excuser auprès de tous les deux. Notre échange était tellement naturel que je n'est pas pu m'en empêcher de toucher sa peau. D'une caresse, elle était si douce accompagné de son odeur vanille coco qui embaume mon espace. Ces yeux émeraude brillé d'une lueur que j'avais jamais croisé. Mais celui de Eren c'était si pure et agréable à regarder. J'étais juste conquis par ce que lui-même refléter à travers son regard. Il coupa l'instant tendresse en retournant son visage rougit par mon geste. Un petit rire m'échappe à cette instant c'était un moment grisant et doux à la fois. Je proposa de récupérer mikasa à l'école et que nous allions dîner dehors. Ce qu'il accepta mais je sais aussi qu'il était content pour ma fille. Dû à son regard rassuré et content à la fois nous sommes allés ensuite se préparer. Une fois fin prêt, nous voilà en direction de l'école de mikasa. Il descends et l'attend car la sonnerie venait de retentir et je regarde voyant mikasa courir vers Eren,

* ren, tu es déjà là,

il a réceptionne en lui faisant un bisous et lui dit une chose à l'oreille. Je l'a voit regarder en m'a direction et il a pose au sol. Elle court à présent vers moi et je descends,

* pounet, tu es venu avec ren me chercher,

je l'a rattrape et la soulève dans mes bras faisant aussi un bisous,

* oui, chérie, ont va manger dehors ce soir tu veux,

elle sourit en me demandant,

* avec ren hein pounet,

le dit Eren s'approche et je le fixe tout en répondant à ma fille,

* oui ma puce avec Eren, allé ont n'y va,

je l'a dépose au sol est elle va s'installer dans la voiture comme moi et Eren. Je repars mais comme il est encore tôt je vais aller vers la plage. Sa fait longtemps que j'y suis pas retourné avec ma fille,

* dis levi, où en va enfin je connais pas encore vraiment ici mais je vois bien que c'est pas des endroits que j'y allé,

je souris en coin et ma fille soulève,

* alors pounet ou ont va, ont va pas mangé ,

un regard de Eren et celui de mikasa sur moi,

* comme il est encore tôt pour le restaurant ont va faire un petit tour à la plage,

ma fille hurle heureuse et le sourire du châtain apparaît radieux sur son visage. Eren me demande finalement,

* toi et mikasa vous n'y êtes jamais aller à la plage,

je suis surpris et pourtant c'est ce que je me disais encore y'a quelque minutes,

* la dernière fois, je m'en rappelle plus trop,

il hoche la tête sans rien dire et je rajoute,

* mais je crois que mikasa devait avoir deux ou trois ans. Elle ne marché pas encore qu'à quatre pattes,

en m'entendant Eren sourit et ma princesses grogne,

* hum je marche toute seule maintenant,

je souris et lui réponds,

* j'ai pas dis le contraire chérie,

eren, la rassure en lui disant,

* tu sais mikasa, papa comme moi, nous aussi en marchés à quatre pattes avant de marcher seul,

ma fille rit en s'exprimant joyeusement,

* aaahhhh c... c'est vrai donc vous aussi vous avez étés des bébés comme moi avant,

un sourire chacun sur nos lèvres et nous répondant en osmose,

* hélas oui mikasa,

nous nous jetons un regard surpris alors que je venais de me garer sur le parking. Et nous rions tout en descendant cette fois malgré l'heure de bientôt dix huit heures. Il faisait encore chaud et la mer scintiller magnifiquement. Les yeux pétillants de ma fille et nous décidons de s'approcher de l'eau. Eren aide ma princesse a retirer ces chaussures comme lui et une fois nu, ils vont trompés leurs pieds. Mais je leurs préviens d'une chose importante,

* je vous préviens tous les deux.....

je n'est pu terminé ma phrase car tous deux en osmose,

* ont nettoiera ta voituuure,

mikasa rit à gorge déployée avec Eren, c'était la première fois que je voyais ma fille aussi heureuse. Non plutôt depuis que Eren est dans ma.....non nos vies. Comme s'il nous apportés la chaleur d'une vie de famille heureuse. Et c'est agréable mais je dois pas trop croire à une nouvelle vie comme celle-là. Car j'ai dû mal à y croire que peut-être j'y est droit de pouvoir avoir enfin ce bonheur. Mais Eren....eren lui ne ressentira jamais pour moi un quelconque sentiments. Je sort de mes pensées par la voix de Eren,

* sa va levi, tu as l'air ailleurs,

je le fixe et ensuite détourne mon regard vers l'horizon écoutant en même temps ma fille courir et rire. Je l'a regarde encore une fois et réponds enfin à Eren,

* oui mais c'est pas important ce qui est important c'est que je sois là avec toi et ma fille,

je l'avais dis en le regardant droit dans les yeux et il m'offrit un magnifique sourire rougissant. Je ne dois pas et pourtant c'est plus fort que moi dois je comme même y croire.


suite prochain chapitre

Celui Qui Fait Mon Bonheur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant