Le début de la fin.

Lettre à mon amour

Oh toi, mon amour
Si tu savais comme je t'aimais
Dès la première rencontre, je n'ai eu yeux que pour toi.
Oh toi, mon amour
si tu savais comme je t'aime
Je me souviens encore de ses premieres roses que tu m'offrit, leurs epines furent douloureuse.
Oh toi mon amour,
si tu savais comme je t'aimerais
Jusqu'à la dernière goutte de sang que tes poings me feront couler,
Mais enfin, pourquoi aimer avec les mots, quand on peux aussi aimer avec les coups?
Les poings ne sont t'ils pas comme des pinceaux bleuâtre sur une toile ? Elles tâchent, peintes, marque de manière indélébile.
Chaque coups de pinceaux promettent que le prochain sera bien plus dur.
Bien plus marquant, bien plus expressif. La limite entre l'amour et la haine n'est qu'infine, Mon corps est couvert de taches, d'amour et de couleur.
Du bleu virant au violet, du rouge un peu partout et de ratures profondes que certains incultes appelle cicatrice.
Je ne suis que le résultats de tes faits et gestes, de ton art si dur a accepter.
Tes mots fusionnent avec tes actes, je ne fais que les concernés, les admirer et les accepter.
Les boire comme de l'eau en pleins désert.
Ma peine est lourde et aveugle, être avec toi est aussi doux que de l'acide, mais mon cœur ne peux se séparer de toi, au risque de mourir.
Tu es mon oxygène, je ne suis rien sans toi mais tu es tout sans moi.
De mes mains je secherai mes larmes, les gardant pour mon prochain martyre.

Elvyre