UNE VIE DE COMPLEXE

10_Deception

Après plusieurs heures passées et que je me suis enfin réveillée , je suis très surprise de voir l'état dans laquelle j'ai mis ma chambre plutôt, si mère n'était pas venu me donner des calmants, je crois que je me serais cassé un bras ou bien une autre partie de mon corps , j'ai tellement honte de moi qu'après plus de 3 ans sans crise j'y retombe aussi facilement, c'est alors que j'entends frapper à la porte

       Entrezzzz!!!!
 
  C'est alors que ma porte s'ouvrît et je fût surprise de voir ma mère accompagné de monsieur Line mon psy

—alors comment va ma patiente préféré ?

— ça va beaucoup mieux monsieur, mais je vous promets que je prends mes comprimés comme vous me l'avez prescrit , mais je sais pas pourquoi j'ai eu à faire cette crise

— justement c'est pour ça que ta maman m'a appelé , elle m'a déjà tout raconté et je suis vraiment désolé pour toi

— merci beaucoup docteur

— de rien , tu sais cela fait plusieurs années maintenant que je te suit et j'ai fini par être attaché à toi , tu es comme ma fille Aprile et savoir que tu dois subir tout ceci à ton très jeune âge m'attriste énormément.

— merci beaucoup docteur , vous aussi vous faites partie de ses gens là à qui je dois encore la vie , vous m'avez aidé et ceux depuis mes 11 ans donc sachez que vous faites partie de mes coups de cœurs
 
Il se mit à rigolé , et me donna une petite tapette sur mes épaules

— bon c'est pas tout , mais faudrait que je t'examine et que nous discutons également, donc Mandame je vous pris de vouloir libérer la chambre je dois m'occuper de votre fille ; chose que ma mère effectua sans se faire prier

— alors docteur je vous écoute

— bon Aurore pour moi il est plus probable que ta crise soit liée à ce que tu as vécu dans la matinée mais elle était tellement violente que j'ose croire qu'il y'a autre chose derrière et j'aimerais que tu m'en parle stp

Vraiment il est trop fort lui , il fini toujours à lire dans moi comme dans un livre ouvert , on peu rien lui cacher

— en faite vous savez j'ai drôlement bien géré la situation, je me suis défendue comme je pouvais et je ne me suis pas apitoyée sur mon sort , mais alors là de savoir que le garçon pour qui j'ai des sentiments ne me crois pas , me traite de pute alors là c'était la goute de trop , il ne m'a pas cru quand je lui est dit que je n'est jamais provoqué ce délinquant , il a préféré croire aux ragots plutôt qu'à moi ai-je dis tout en commençant à pleurer

—Aurore nous sommes en train de discuter, ne t'affoles pas , reprend ton calme et continue à parler , tu sais je suis là pour t'écouter et te conseiller

—en faite il m'a demander de sortir de sa vie , il m'a également abandonné et ça c'est que je redoutais le plus, vous même mieux que personne vous savez ce que ça été pour moi de supporter l'abandon de mon géniteur et là subir encore se rejet m'amène à me poser la question si ce n'est pas en faite moi le problème ? Pourquoi tout le monde m'abonne pourquoi personne ne m'aime ? Suis je tout le temps obligée de jouer un rôle pour me faire accepter ? Suis je tout le temps obligée de faire semblant ? Vraiment j'en ai marre

— Je te comprends très bien , et je sais que pour toi ressentir une fois de plus  ce type de rejet te rappelle de mauvais souvenir , mais tu dois apprendre à te contrôler, maîtriser tes émotions , et sache que l'on ne peut pas aimer tout le monde dit toi juste qu'il y a des gens tout autour de toi qui attendent juste le bon moment pour pouvoir manifester l'amour qu'ils ont pour toi, comment peux-tu dire que personne ne t'aime alors qu'il y'a ta famille et ton meilleur ami Raphaël ? Toi ce que tu cherches c'est d'un autres type d'amour c'est ça ? Mais pour  cela tu devra être patiente pour éviter de faire des mauvais choix , je te l'est dis le choix d'un partenaire n'est pas à prendre à la légère et dans ton cas encore plus ;il sera compliqué car tu dois trouver quelqu'un qui ne profitera pas de ta vulnérabilité , qui te comprendra, qui t'écoutera, te consolera , tu n'as pas besoin de précipiter les chose car tu recherche d'une certaine manière cette présence masculine dont tu n'as jamais bénéficié.