Debout et suis-moi. Mais frérot, je suis à poil, je ne fais pas te suivre.
Chapitre 2
Jusqu'à preuve du contraire, amener une personne dans sa chambre, pire si je puis dire dans son lit sans son consentement, est un kidnapping, voir pire. De toute évidence, ce n'est pas une notion que les gens ont ici. Franchement, de vous à moi de moi à vous, j'ai l'impression d'avoir une malchance constante sur ma personne. D'ailleurs petit détail qui tue, je suis à poil, franchement la situation est déjà bien gênante, on ne peut pas faire pire... et bien, je peux jurer que si.
Grande, une coloration cheveux blancs, des tatouages, assez bien habiller et plutôt bien muscler, voila la vision que j'ai actuellement devant moi un homme, ce que je peux dire avec assurance, c'est que l'homme devant moi n'est pas le tueur.
L'homme est plus grand un peu plus muscle et un charisme qui pourrait faire tomber n'importe quelle fille en chaleur voyons les choses en face l'inverse de moi petit, peu muscle, menue et pas une once de charisme, la seule chose en commun que l'on a est peut-être notre origine thaïlandaise ou coréenne, je ne sais pas, mais le bougre est asiatique.
L'homme se rapproche, ce place au-dessus de moi et par la même occasion me surplombait de toute sa personne. Je ne bouge pas, les yeux ancrent dans les siens et inversement détaillants les moindres parcelles de son visage. La paume de sa main me parcourt le visage, faisan de sorte qu'il puise me regarder dans les moindres détails.
Face à son regard intense, j'ai l'impression d'être à nu même si physiquement, je le suis vraiment, mais mentalement son regard me capture impossible pour moi détourner mon regard de son visage.
Debout gamin et suis-moi. Attends, il a dit quoi là, je pense il rêve, jamais je ne me lève alors que je suis à poil déjà devant lui, c'est dur de ne pas me mettre en boule pour éviter son regard sur mon vieux corps, mais si en plus je dois me lever c'est mort.
Non merci. Deux mots qui je pense peuvent faire en sorte de me faire disparaitre.
Écoute gamin déjà je ne comprends pas pourquoi tu es encore en vie, mais tu vas bien sagement me suivre où c'est moi qui termine le boulot de l'autre connard. Son ton est sec et froid, aucune émotion ne se sent dans sa phrase.
Je non je ne peux pas me lever. J'insiste trop d'effort de me montre nu devant les gens.
Il me détaille encore, son regard froid sur mon visage commence à descendre sur la partie de mon corps visible, remarquant que je ne suis pas habillé. Son regard change un peu et il se lève en continuant de me fixant et se déshabille. Une pas deux mon pote, je me cache sous les draps, pas envie de voir ça.
Il n'est pas bien le mec juste car je ne suis pas habillé il enlève son haut, sûr qu'elle dérangé je suis encore tombé. Pas envie de perdre mon cul dans cette chambre et avec ce type bizarre, sauvez-moi enfaite je suis trop jeune pour faire ça.
C'est bon t'a fini de te cacher gamin ? je ne vais rien te faire. J'ai l'impression que sa voix dit le contraire de sa pensée. Même c'est mort jamais je me redresse, reste sûr t'a positions soldat sous les couvertures c'est l'endroit le plus sûr pour ma petite personne.
Putain, mais en plus d'être en vie tu n'obéis même pas. Je le sens se rapprocher quand il dit cette phrase.
Tu ne veux pas te lever ok, on va faire autrement. pas le temps de réagir qu'il est déjà en train de me soulever. J'ai l'impression d'être un enfant c'est ultra-gênant.
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ma poupée, ma jeune poupée
FanfictionNoir, jaune, rosé, beige les associations de couleurs se mélange dans les rues de la ville. Les piétons qui virevoltent au tour de moi et les voitures qui frémissent leur chaleur devant moi pourquoi ? Pourquoi la vie se contente d'être l'immense rou...