The Frozen Heart of the Doctor

Chapitre 14: Première fois

Timeline: The Same Day, Few second later 

Wordcount: 1842 

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******Note narratrice******

Salut tout le monde ! ^^

Avant toute chose, j'espère que cela vous plaît ! Je tenais à vous dire que la scène qui va suivre ne sera pas censurée pour ceux que cela gêne à vous de passer sur le prochain chapitre, mais pour ceux que cela intéresse, j'espère qu'elle vous plaira ! ^^

******Fin de la note narratrice******

Depuis que le docteur m'avait mise au lit, il n'avait pas lâché mon corps ni même mes lèvres. Il me serrait tellement fort contre lui que j'arrivais à peine à savoir ce qu'il voulait. On aurait dit qu'il avait peur que je disparaisse. Je me calais mieux contre lui avant que je ne sente son érection grandir contre moi ce qui me faisait rougir violemment. Oui, je n'avais encore pas eu l'honneur de pouvoir sentir un homme contre moi... Encore moins qu'un homme puisse me désirer comme le docteur. Il caressait ma joue avant que je ne le regarde en l'embrassant à nouveau, ma main s'enfonçait doucement dans ses cheveux et mon autre main caressait doucement son torse en lui faisant des frissons. Je rougissais en le sentant frémir au contact de mes mains et lui mordillait gentiment mon cou. Je ne savais pas si il voulait aller plus loin ou si cela devait s'arrêter à des bisous dans le lit. La réponse que je voulais fut rapide quand je sentais les mains du docteur passait sous mon haut pour poser ses mains chaudes contre mes reins. Des frissons me parcouraient et je finissais par le regarder.

"Tu sais que tu peux aller plus loin... Tu peux me toucher, je vais me fondre comme du sucre" Dis-je en le regardant.

"Je sais que tu n'es pas en sucre, mais ça fait tellement longtemps que je n'ai pas fait quelque chose que j'ai peur de faire quelque chose de travers ou de mal... Je veux tellement pas te blesser ou sembler si nul à tes yeux comparaient à tes autres conquêtes que tu as dû avoir..." Le docteur me répondait timidement en caressant mes cheveux

"Tu vas paniquer si je te dis que tu es ma première fois..." Répondis-je en n'osant pas le regarder

"Attend quoi..." Le docteur disait en s'arrêtant

"Panique pas ! Panique pas !" Répondis-je en le regardant

"Ne pas paniquer ?!! Tu Tu veux faire des choses et et moi, je suis un vrai ancêtre ! Et et" Le docteur me disait

Je le tenais contre moi avant que je ne caresse doucement son érection à travers son jean. Il frissonnait en ne sachant pas quoi faire. J'étais certes vierge, car personne ne me voulait, mais je savais quand même deux trois petites choses sur le comment je pouvais exciter mon partenaire. Je le tenais doucement quand je retirais son bas pour que je puisse voir son membre et mon Dieu la taille. Je rougissais sur le coup quand je le voyais pour la première fois, même si il était pas humain je n'en avais jamais encore vu alors je ne savais pas quoi faire. Sans que je ne finisse de penser correctement le docteur mordit doucement mes tétons avant de les masser. Ma tête se basculait en arrière dans un violent gémissement de plaisir. Quand il les entendait sa main se glisser entre mes cuisses avant que son index ne fasse des mouvements lents et rapides autour de mon sexe... Le docteur savait me prendre, il connaissait chacune des façons qui pouvait rendre folle une femme. Oh oui, je le savais. On pouvait me demander comment, mais la seule chose que je pouvais répondre à cela était son expérience. Il était vieux et malgré l'apparence qu'il avait le docteur le rappelait en permanence son âge. Ma main s'enfonçait dans ses cheveux avant qu'il ne se dégage et que ses lèvres ne dépose des baisers sur chaque partie de mon corps en descendant de plus en plus bas. Je rougissais en ne sachant clairement pas ce qu'il faisait quand il mettait sa tête entre mes cuisses. Je tirais légèrement ses cheveux quand ce dernier titillait mon clitoris avec sa langue. Cette sensation était tellement bizarre, je ne savais pas comment je devais l'expliquer, mais c'était tellement bon... Le docteur avait des coups de langue habile et il continuait de me tordre de plaisir. Chacun de ses coups de langue était habile et sa cadence allait de plus en plus rapidement. Mon corps s'agitait sous le plaisir et je gémissais de plus en plus fort de plaisir. Ma main s'enfonçait dans ses cheveux, car je ne voulais pas qu'il se dégage. Le plaisir était tellement grand, mais je n'avais clairement pas envie de me dégager de lui. Il tenait doucement mes cuisses qu'ils malaxaient doucement et ses coups de langue s'arrêtaient avant qu'il ne se mette à sucer mon clitoris. Je me cambrais en gémissant plus fort de plaisir. Mes jambes se posaient toute seule sur le dos du docteur et moi, j'essayais de me contrôler. Je finissais par me mordre pour que je puisse me taire, mais je n'arrivais pas à m'arrêter de gémir. Je rougissais jusqu'à ce que le docteur tienne mes mains pour que je m'empêche de me retenir. Quand je le regardais, mes joues devenaient rouges avant que ses coups de langue ne reprennent me faisant devenir folle. Mes cuisses étaient trempées du plaisir qu'il me donnait. Ma main s'enfonçait dans ses cheveux quand je sentais le plaisir gonflait de plus en plus. Après de longues minutes de plaisir, mon souffle devenait de plus en plus court et mon corps perlait de sueur. Les mains du docteur tenaient fermement mes cuisses en les massant doucement. J'aimais tellement la douceur de ses caresses, mais ses coups de langue me faisaient perdre la tête... J'agrippais les draps avant que je ne jouisse pour la première fois en ayant le souffle court. Le docteur redressait sa tête en me tenant dans ses bras quand il me laissait reprendre mon souffle. Je le regardais dans les yeux avant qu'il ne caresse ma joue 

"Krelian" Le docteur, me disait

"Quoi...?" Répondis-je à bout de souffle

"C'est mon prénom... Krelian..." le docteur me répondait

"Attends-tu me dis ton prénom ? Pourquoi..." Dis-je en le regardant

"Car je ne veux pas que tu jouisses en disant docteur... Ma femme savait mon prénom et elle est la seule avec qui j'ai eu des rapports avant que tu ne rentres dans ma vie... Alors je te donne un cadeau précieux Orphélia... Comme toi qui me donnes ta première fois..." Le docteur me disait

Il n'avait pas le temps de finir sa phrase que je tenais doucement sa nuque en l'embrassant avec fougue. Je sentais son gland qui se frottait doucement entre mes lèvres ce qui me faisait frissonner. Le ... Enfin, je voulais dire Krelian me demandait une dernière fois si j'étais sûr de vouloir le faire et avant que je ne finisse de dire oui. Il se retrouvait en moi avant que je ne me cambre sous la douleur que j'avais en me faisant pénétrer. Krelian me tenait dans ses bras en se doutant que cela me faisait mal. Quand je regardais sa main qui avait effleuré mes lèvres, elle se retrouvait avec de légères taches de sang. Il me disait que c'était normal, mais je réalisais à peine ce qui se passait... J'avais non seulement le docteur, mais je n'arrivais pas à m'habituer au fait de l'appeler par son prénom. Il bougeait doucement en moi avant que je ne tienne doucement son bras, mais il le dirigeait sur mon clitoris. Il faisait des mouvements circulaires en me montrant comment faire et je le faisais en gardant sa main dans la mienne. Nos bouches se dévoraient l'une et l'autre et ses hanches bougeaient de plus en plus vite. Mon corps se collait contre le sien, mais j'arrêtais de me masturber quand je sentais le plaisir qui surpassait ma douleur. Nos gémissements de pur plaisir étaient à l'unisson et nos mains se serraient l'une et l'autre. Sa verge rentrait en moi quasiment en entier en moi et ma tête se basculait en arrière et que je gémissais de plus en plus fort de plaisir. Ses mains caressaient doucement mes hanches à chacun de ses mouvements qui était rapide mais tellement bon. J'étais tellement addicte au mouvement que j'avais en moi. Nos corps bougeaient et les seuls bruits qu'on entendait étaient le bruit de nos corps et nos gémissements qui pour ma part me faisait rougir quand j'entendais ceux de Krelian. Je finissais par prendre le contrôle avant que je ne bouge doucement mon bassin sur lui comme si je dansais sur son corps. Krelian plantait doucement ses ongles dans ma chair et sa tête se penchait sur le côté avant que des gémissements longs et sincères ne sortent de sa gorge. Je posais ses mains sur mes seins qu'il se mettait à titiller en caressant avec lenteur le bout de mes seins qui était durci par mon excitation. Il accélérait à nouveau la vitesse de ses coups de bassin avant de me tenir pour me montrer comment je pouvais mieux le faire alors je le faisais sans hésiter, car je trouvais cela tellement bon. Le fait que Krelian me laisse avoir le contrôle... Je ne sais combien de temps avait passé, mais je le voyais que ça faisait un moment au vu de la sueur sur son corps qui se trouvait contre le mien. Sa bouche jouait avec l'un de mes tétons et ses mains caressaient mes hanches. Il le mordait chaque fois qu'il gémissait plus fort, mais je finissais par tirer doucement ses cheveux pour qu'il me regarde. On se regardait tout en bougeant en rythme sur notre lit et moi, j'allais bientôt jouir. Mon souffle se faisait court et il tenait mes hanches avant de me coucher pour donner de rapides coups de reins. Je griffais son dos en criant de plaisir quand je le sentais toucher des points étranges qui se trouvaient en moi. Je devenais folle de plaisir, j'avais tellement envie de plus. Je voulais plus. Je sentais sa verge gonflait à moi comme si il était prêt à jouir, mais avant que je ne finisse de penser à ça. Krelian se retirait en jouissant quand je me cambrais en jouissant son prénom. Mon souffle se faisait court avant que je ne réalise ce qui se trouvait sur mon ventre à savoir sa semence. Je rougissais violemment en le tenant contre moi en reprenant mon souffle. Krelian m'embrassait avant que je ne caresse doucement sa nuque. Je lui rendais son baiser en l'embrassant tendrement, mon souffle était aussi rapide que le sien. Mon corps était trempé, mes cuisses étaient trempées de nos excitations et mon ventre baignait du résultat de nos ébats. Il prenait le drap en m'essuyant doucement mon ventre. Je croyais halluciner... J'avais eu du sexe avec un homme qui avait, je ne sais pas d'âge d'équart... Il se lovait dans mon cou et moi, je le serrais dans mes bras en le câlinant. J'aimais ce que j'avais vécu, Krelian m'avait vendu du rêve...