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Petite parenthèse avant de commencer, je vous conseille de lire ma chronique en écoutant la musique « Warda Ala warda » comme ça vous rentrez vraiment dans la vibe de la chronique !💋

Paris, 17h50

✍🏼

Aujourd'hui nous étions jeudi, shay terminé à 16:30 mais vu qu'elle faisait une activité à l'école elle terminé donc à 18h mais c'était normalement selim ou ylies qui devait aller la chercher

j'étais à la fac avec salwa entrain de papoter

salwa : alors ta famille ça va ?

moi : ouii et toi

salwa : ouais mais bon tu connais amir pff il est trop chiant

moi : mdrr j'te jure force à toi

salwa : bon toi aussi ta ylies et selim a tes pieds donc rigole pas trop

moi : ouais mais ils me cassent pas la tête comme ton frère

salwa : tu verras un jour

moi : hmm

salwa : il est quel heure ?

moi : 17h50

salwa : hmm c'est bizzzre amir m'a dit qu'il viendrait à 17h30

moi : ahh ok viens on sort à l'extérieur de la fac

salwa : vsy go

on sort ensemble et y'avait plusieurs étudiants étudiantses dehors. Je parlais avec salwa jusqu'à ce que j'aperçois que le voile de salwa est mal mis, on voyait un peu ses cheveux

moi : attends je t'arrange ton voile on voit tes cheveux

salwa : vzy mavie merci

je m'approche d'elle et essaye d'arranger son voile sauf que je sens mon corp se propulser par l'arrière et le voile de salwa s'est accroché à ma main ce qui fait qu'elle avait plus de voile

Amir : SALLE PUTE POURQUOI TU TOUCHES LE VOILE DE MA SŒUR

puis il me donna une gifle

salwa était tétanisé à l'idée que tout le monde l'avais vu sans son voile

je m'approcha d'elle et lui remis son voile rapidement

amir : VOUS REGARDEZ QUOI BANDES DE FILS DE PUTES

puis tout le monde à détourner le regard

moi : salwa j'te jure chui désolée j'ai pas fais exprès
et...

amir me gifle une seconde fois puis me tiens par le cou hyper fort

amir : FERME TA GUEULE J'VEUX PLUS JAMAIS TE VOIR AVEC MA SOEUR TA VU TOUT LE MONDE L'A VU SANS SON VOILE A CAUSE DE TOI

il me poussa violemment puis je tombe en arrière dans les marches d'escaliers qui se trouvait derrière moi

mon dos cogna violemment les marches d'escaliers et ma tête aussi

Chronique d'Asmae : « de la haine à l'amour »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant