Chapitre 7 : la guerre

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 Je décide de partir et de rejoindre Serena là où elle est partit et j'arrive dans les toilettes, quand elle me vit elle demande.

— Tu vas bien ?

— Oui fin je suis déboussolée je n'arrive toujours pas à croire qu'il vient de déclarer la guerre à cause de moi...

Je m'appuie contre le mur perdue dans mes pensées, elles divaguent entre la vrai personne qu'est mon paternel, ses actions, mon enfance avec lui qui a été agité, notamment un souvenir qui me revient quand j'avais quatorze ans plein de mecs flirtaient avec moi pour pouvoir couché avec moi puisque j'étais un peu la populaire car j'avais un corps trop sexy. Le soir quand je rentrais des cours je pleurais et me taillais les veines du fait que j'en pouvais plus de cette vie.. Je sens qu'on me secoue et c'est Serena, je relève la tête vers elle et elle demande.

— Tu pensais a quoi Bella ?

— Toute mon enfance et adolescence qui était un véritable cauchemar..

Elle vient me faire un câlin pour me réconforter et grâce à ce geste je fonds en larmes, j'ai tellement honte de pleurer devant des personnes, pour moi c'est une faiblesse je déteste sangloter en public je fais la forte mais au fond je suis faible dû aux nombreux traumatismes de mon enfance et puis de mon adolescence. Quelqu'un rentre dans les toilettes, j'essuie mes yeux, me défais de ses bras puis lève la tête vers la personne qui venait d'entrer et elle dit.

— Bella pourquoi tu pleures ?

—Rien..

Martinez s'approche de moi mais je recul et il dit avec un sourire rassurant

— Je sais que tu repenses à ton passé qui n'était pas glorieux mais je veux que tu saches que maintenant que je suis entré dans ta vie elle ne sera que meilleure, je tiens à rendre ta vie bien plus belle car je t'aime Isabella et te voir vivre un enfer j'ai envie de massacrer la raison ou la personne !

Je lui rends son sourire, je dois le reconnaître il fait tout pour que je me sente bien avec lui, aimé, protéger de tout danger extérieur et j'apprécie.

— Merci Salvatore d'être entré dans ma vie parce que je ne me sentais pas aimé, malgré le fait que j'ai deux meilleures amies ça ne comble pas le vide que j'ai eu étant petite car mon père interdisait à ma mère de me faire des bisous et câlins, je n'ai pas connu l'amour d'une famille soudé.. Quelques fois les nuit ces souvenirs reviennent et puis parfois j'ai l'impression de revivre ses actes...

Il se rapproche de moi et vient me faire un câlin, surprise de son action je ne bouge pas et Serena dit.

— Je vais vous laisser tout les deux parce que je pense que vous avez besoin de parler

Elle quitte la pièce nous laissant seule et elle ferme la porte, je me rends compte que je suis bien dans ses bras alors j'enroule mes bras autour de son dos et me blottis contre lui.

— Merci Martinez j'en avais besoin..

Soudainement la porte s'ouvre sur mon géniteur et à la vu qu'il a de nous se faisant un câlin il dit.

— Et bien voilà comment est le grand Martinez, faible !

— Je ne suis pas faible ! Réplique-t-il du tac au tac toujours dans mes bras

J'entends ses pas se déplacer un peu plus vers nous et il enchaîne

— On dirait un couple et ça c'est l'horreur !

— Non, se n'est pas l'horreur parce que quand on se sent mal on peut s'appuyer sur l'autre, recevoir tout l'amour que je n'ai pas eu étant petite, tu vois, c'est ce sentiment là qu'il me manque, j'en ai pas reçu de toi et ma mère ! Et puis on est pas un couple, il voit que je suis pas bien en raison de cela il me fait un câlin dont j'en ai tant besoin !

Martinez et IsabellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant