Chapitre 5 :

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Je sens un poids sur moi alors je me réveille et découvris Serena je pouffe de rire et soupire.

― Laisse-moi tranquille j'ai envie de dormir..

― Tu as vu l'heure ?! Il est 10h passer Bella

― Et alors ?!

― Tu as rendez-vous avec Martinez pour 10H40 alors dépêche-toi parce qu'il déteste recevoir un rendez-vous en retard et tu sais comment il est...

Elle se lève me laissant de la place pour que je me lève à mon tour et elle m'annonce qu'elle m'attend dans le salon donc je me prépare et descends prendre mon petit-déjeuner, ensuite nous partons en trombe vers son lieu de travail.

Nous somme arriver alors nous descendons de l'habitacle, et je vis un building type des Etats-Unis, et nous nous dirigeons vers son bureau, on rentre dans l'ascenseur, Serena appuie sur le bouton du 25 ème étages, à peine cinq minutes plus tard que l'ascenseur s'arrête d'un coup.

― Qu'est-ce qu'il se passe ?!

Je tourne la tête et la vis tout aussi dérouter que moi, je regarde l'heure sur ma montre et elle affiche 10h45... Elle reçoit un appel et j'entends son interlocuteur crier,un bruit comme ça, ça ne peut être que Salvatore.

― C'est pas notre problème, ton ascenseur est tombé en panne alors demande à un technicien de venir le réparer ! Criait-elle à son tour

Je me rapproche d'elle pour écouter ce qu'il dit.

― Il ne vas pas arriver avant une heure et j'ai pas le foutu temps d'attendre !

Je lui arrache le téléphone des mains et exclame.

― La patience toi tu l'as pas sombre abruti ! Alors s'il ne va pas arriver avant une heure démerde toi pour venir décoincer la cabine !

―Vous êtes à quelle étage ?! S'égosilla-t-il

Je lève la tête et vis afficher l'étage cinq et lui réponds

― A l'étage cinq

― Putain bordel de merde !

― Les gros mots n'aident en rien ! Criai-je à mon tour

Qu'est-ce qu'il m'énerve, avec lui faut avoir de la patience...S'il continu a agir de la sorte je vais perdre mon sang froid ! Il coupe l'appel, je rends son portable et je m'assois sur le sol attendant qu'il vienne nous chercher.

― S'il continu a crier comme cela, je ne vais pas pouvoir le supporter bien longtemps ! Lui avouais-je

― C'est à quelle sujet qu'il me convoque ?

― A propos de la soirée mais je n'en sais pas plus..

Trente minutes plus tard

La cabine se remet en marche signifiant qu'il a réussi à la réparer. Quelques minutes plus tard les portes s'ouvrent sur lui avec une mallette a outils à ses pieds, il range son materiel dans un placards du couloirs, et me rejoins dans son bureau , elle part nous laissant seul. Le  bureau est munie d'une vaste baie vitrée toujours sans rideaux, un lustre pend juste au-dessus de son bureau, des tableaux sont accrochés aux murs puis je m'installe sur une chaise devant son bureau tandis que lui va s'asseoir sur son fauteuil et me demande.

― Est-ce que tu sais la raison du pourquoi je t'es convoqué ?

― A propos de la soirée..

― Je vais te dire en quoi elle consiste

Je joue avec ma bague que ma donner Sergio et lui dis.

― Je sais à peu près sur quoi elle consiste..

Il remarque le bijou avec lequel je joue et me dit.

― Elle me dérange !

― J'en ai rien à faire c'est pas mon problème !

― Elle est sur ton annulaire et-

Je me lève irrité et me dirige vers lui et annonce.

― C'est une bague que ma donné mon meilleur ami alors crois moi que je ne vais pas l'enlever !

― Il veut plus qu'une simple amitié avec toi et cela me dérange amèrement car tu m'appartiens !

Il se lève à son tour et se dirige vers moi, machinalement je recul et son armoire m'arrête. Il place ses mains de chaque côté de ma tête et je  reconnaîts son envie de meurtre dans ses yeux. Il me prend ma main où est la bague mais je l'enlève violemment et dans un exces de fureur il tape le poing contre le verre de l'armoire qui se brisa, je reçois un bout de verre sur ma joue et je le repousse et exclame au bord de la crise de nerf !

― Putain tu pouvais pas faire plus attention ?! Tu as de la chance que ça n'a pas atterri dans mon œil sinon je t'en aurai vraiment mis une !

Je marche vers son miroir et vis que c'est un petit morceau donc je ne pourrai pas le retirer a main nu, seulement avec une pince a épiler alors je me retourne vers lui puis demande.

― T'a une pince à épiler ?

― Je ne suis pas une fille donc je n'ai pas cet objet ! Tu te démerdes pour enlever le bout de verre !

Il s'approche de moi mais je recul par peur qu'il ne me fasse du mal mais je trébuche sur le porte-manteau et tombe par terre, lui se place au-dessus de moi avec un regard de dominant comme mon paternel, sourire qui m'horripile fortement dû aux souvenirs de mon père.

Il se baisse et dirige sa main vers mon visage je la repousse mais avec son autre main il vient m'étrangler pour ne pas que je bouge tandis qu'il reporte sa main à mon visage et fouille dans ma blessure pour trouver le morceau de verre. Après quelques minutes le trouve enfin et retire ses doigts de mon visage et de mon cou.

Je gémis de douleur, me relève et fouille dans ses tiroirs s'il n'a pas une trousse de secours, un petit moment après je trouve enfin et qu'il faut pour désinfecter ma blessure et un bandage donc je la prends et nettoie ma plaie ensuite une fois tout ranger je lui exclame.

―Des sentiments commençaient à naître avec Sergio avant que tu ne m'enlève !

―Tu n'as pas le droit d'avoir des sentiments pour lui car-

Je croise mes bras en signe d'agacement et finis sa phrase

―Je t'appartiens oui je sais merci de me le rappeler pour la énième fois..


Martinez et IsabellaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant