Symphonie Des Ombres

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Dans la pénombre, une mélodie lente,
Comme un murmure au coeur des tourments,
Chaque note, une larme qui chante,
Un échos sourd d'un passé tremblant.

Le piano pleure en accord brisés,
Ses touches froides, des larme d'ivoire,
Chaque arpège, une âme égarée,
Cherchant la lumière dans le noir.

Un violon solitaire soupire,
Ses cordes vibres de douleur,
Son chant cri, un lent martyre,
Révèle l'abîme de la peur.

La guitare, compagne fidèle,
Ses cordes de métal résonnent,'
Des souvenirs, des rêves rebelles,
Dans ses accords, la nuit s'abandonne.

La batterie, battement du coeur,
Martèle le tempo des angoisses,
Chaque coup, une douleur intérieure,
Un rythme lourd qui jamais ne lasse.

Et dans ce sombre orchestre éthéré,
La voix s'élève, douce et fragile,
Chant d'espoir ou de désespérer,
Elle vogue sur des eaux subtiles.

Chaque mesure, un instant de grâce,
Un pont tendu vers l'infini,
La musique, cette douce impasse,
Transcende la douleur, l'amplifie.

Dans cette symphonie de l'ombre,
Les âmes se cherchent et se répondent,
La dépression, sous la lune sombre,
Trouve un échos que la musique inonde.

Échos De L'âme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant