𝒞𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇ℯ 11

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-Je vais vous rendre vos copies dit la prof d'anglais
-en globalité le contrôle a été complètement raté je suis extrêmement déçu de vous, sachant que vous n'êtes qu'en 6ème c'est effrayant. Heureusement que certaine personne arrive à maintenir le niveau de la classe.

Ces talons frappent violemment le sol jusqu'à arriver devant mon pupitre

-Eva Jones est l'exemple à suivre. Dit-elle en jetant ma copie sur mon cahier

Je récupère cette fameuse copie pour regarder la note de « l'exemple que je suis »

19,75/20 dans la partie « observation » Mme Garcia ma écrit « Continue comme ça. »

Ma prof d'anglais m'a toujours mis sur un piédestal comparé à mes autres camarades de classes. Certes j'avais une classe catastrophique mais elle préfère aider les personnes surdouées dans sa matière plutôt qu'accompagner ceux qui ont vraiment besoin de son aide. Elle m'adore mais moi, je la déteste elle une mentalité qui a tout de détestable. Son rouge à lèvres Dior rouge pétant est toujours posé sur ces lèvres lui donne des airs de femme fatal qui va parfaitement avec ces longs cheveux noirs tombe jusqu'au bout de son dos doté d'une brillance indescriptible. Mais ces cheveux sont loin d'être aussi beau que c'est yeux en forme de sirène d'un noir encore plus profond que l'obsidienne.  

Elle rend les copies de toute la classe en donnant les notes à l'oral, encore quelque chose de détestable chez elle.

- 4/20 tu pourrais au moins essayer d'écrire correctement la date Williams.

Aaron souffle comme à son habitude mais je décide de me retourner pour lui parler 

-Aaron, je peux t'aider si tu as besoin d'aide.

Il me lança un regard noir rempli de dégout

-Je n'ai pas besoin de ton aide pétasse. Me dit-il avec l'air d'être écœurer par ma proposition 

-Ah ok comme tu veux Aaron.

𝐄𝐯𝐚

Pourquoi je pense à sa maintenant ? 

Je suis avec un client au cabinet médical et il vient de me dire qu'il se fessait harcèle au collège. 

-Mme Jones vous allez bien ? vous tremblez. 

-Euh oui merci 

Je termine ma séance et je sors rapidement du cabinet pour vite rentre chez moi, mais Mme Martin me rattrape vite sur le parking pour savoir ce qu'il se passe.

-Eva que ce passe-t-il ? Depuis un moment tu n'as pas l'air d'aller bien.

-C'est un peu trop complexe pour l'expliquer maintenant Léa.

-D'accord mais si tu as besoin de parler je suis là. 

-Merci dis-je avant de rapidement monter dans ma voiture pour fuir cette situation 

Je commence à conduire, la nuit est déjà tomber. Depuis peu nous sommes passés en automne alors tous les soirs je rentre sous la nuit obscure.  

J'arrive devant mon bâtiment vers 20h30, mais il n'y a aucune place a moins de 5 minutes à pied de chez moi alors je décide de la garer un peu plus loin. Je sors de ma voiture et me dirige vers mon immeuble. 

-excusé moi madame 

Je me retourne et vois un homme. 

-Je viens d'emménager vers ici et j'ai du mal à me retrouver. Est-ce que vous pouvez me dire ou est l'épicerie s'il vous plait ? 

-C'est sur ma route suivez-moi.

-Si ce n'est pas trop indiscret pourquoi vous rentrez aussi tard ?

-Je travailler.

-Moi c'est Thomas.  

-Eva, l'épicerie est là.

-D'accord mais juste vous pouvez me passer votre numéro de téléphone, vue que je suis nouveau si ça ne vous dérange pas de me faire un peu visiter cette grande ville. 

Je tends ma main signe pour lui dire de me passer son téléphone il sort son téléphone et il me le donne j'enregistre mon numéro et lui rend. 

Il me remercie mais j'étais déjà parti, il fait déjà nuit je n'ai pas le temps pour ça.  

-Eh Eva dit une voix grave derrière moi 

Je ne prends même pas la peine de me retourner en reconnaissant a qui appartient cette voix 

-Tu comptes m'esquiver longtemps ? 

-Je t'esquiverez jusqu'à ma mort, Aaron.

J'accélère un peu plus à chaque seconde qui passe mais il attrape mon poignet 

-C'est qui lui ? Je ne l'ai jamais vue 

-Ça ne te concerne pas 

-Je ne le sens pas ce type. 

- Aaron maintenant lâche moi je veux rentrer chez moi.   

-Tu rentres tard la nuit est déjà couché on est passé à l'automne c'est dangereux tu devrais faire attention 

-C'est plutôt toi le danger pour moi, Tu ne crois pas ? 

Il ne répondit pas alors je continue 

-Non tu as crue qu'il aller se passer quoi quand j'allais le découvrir. Tu t'attendais à quoi de moi franchement ? 

-J'étais sensé te le dire comment ? 

-Tu n'aurais juste pas dû m'harceler. 

Il lâcha enfin mon poignet et je rentrai en vitesse à mon appartement en espérant que plus personne ne vienne me parler

𝐌𝐨𝐧 𝐁𝐚𝐫𝐦𝐚𝐧.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant