Chapitre 1

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voici un recueille d'histoire d'HPI, n'hésitez pas à me donner des situations que vous voulez que je mette à l'écris. bonne lecture. 

Situation : Morgane se fait agresser devant fred.


Morgane descendit de la voiture en étant déjà de mauvaise humeur, la collaboration avec Fred était loin de se passer comme elle l'espérait. Déjà personne ne pouvait remplacer son super poulet, évidement. Mais même si la comparaison ne tenait pas, il pouvait au moins essayer de faire semblant. Mais non, le gars, déjà pour commencer, ne se prenait pas pour n'importe qui ! Et cette façon de lui parler, non mais il allait vraiment finir par s'en prendre une c'était sur. Morgane voulait bien se contrôler mais fallait pas non plus pousser mémé dans les orties comme on dit. Heureusement que toute l'équipe pensait comme elle, mais bon si Karadec ne voulait pas reprendre sa place...bein c'était l'autre abruti qui restait. Elle descendit donc de la voiture, attendant que son acolyte la suive pour aller interroger la famille de la victime. Mais ce dernier trainait dans la voiture. Morgane en eu marre et commença à avancer dans la direction de l'immeuble. La victime vivait dans une cité et malheureusement, Morgane sentit rapidement les regards sur elle. Elle tenta de faire comme si ils n'existaient pas mais un jeune homme arriva à sa hauteur :

« alors mademoiselle, on se balade ? »

« non mais mon grand, rentre chez toi, je pourrais être ta mère » répondit Morgane en rigolant pour cacher l'appréhension qui montait.

« tu vas voir si tu peux être ma mère » se braqua le jeune homme en venant se coller à la consultante.

« hé ! Dégage ok ! »cria Morgane en le repoussant.

Le jeune homme devenait de plus en plus entreprenant et la jolie rousse s'énerva de plus belle. Elle vit finalement Fred arriver tout calmement alors qu'elle se faisait clairement peloter. Fred rigola de la situation :

« bah alors 160 qu'est-ce qu'ils e passe ? » demanda-t-il.

« parce que ça te fais marrer ? » s'énerva Morgane en repoussant une énième fois le jeune homme.

« roh c'est bon » rigola de nouveau Fred.

« j'tai dis de me lâcher toi ! »cria Morgane en repoussant de la main la tête du jeune homme qui tentait de l'embrasser. Ce dernier vexé, gifla violemment la consultante. Et c'est finalement Gilles, arrivé entre temps et ayant vue ce qu'il se passait qui intervint en arrêtant le jeune homme et en le menottant à un poteau.

« ça va Morgane ? » demanda le lieutenant inquiet.

« mais oui ça va » répondit Fred à la place de Morgane.

Morgane se tenait la joue en la frottant avec sa main :

« mais vous êtes pas bienvous ! » monta d'un ton la jeune femme. « vous vous seriez bougez le cul si Gilles n'était pas arrivé ?! »

« qu'est-ce que tu insinue ? » se braqua Fred.

« que t'es un sale con ! Voilà c'que j'insinue connard ! »

« ho du calme 160, tu redescend d'un cran ! »

« espèce d'enfoiré ! » cria inarrêtable la consultante. Gilles se tenait à côté d'elle, la soutenant en caressant d'une main amical son dos.

« c'est bon Morgane, calme-toi, on réglera ça au poste » intervint Gilles en dirigeant Morgane vers sa voiture et en regardant froidement le commandant qui se retrouva soudainement bête.

Morgane descendit de la voiture en trombe une fois garé à DIPJ, elle passa devant le commandant Karadec qui venait d'arriver pour leurs demander un renseignement. Ce dernier fut surprit de l'attitude de la consultante qui ne le regarda même pas en se rendant a l'intérieur. Il interrogea Gilles du regard.

« heu..l'interrogatoire c'est mal passé avec Fred... » commença le lieutenant, ne sachant pas la réaction de son ami. Il savait les sentiments qu'entretenait Karadec pour la consultante, même si ils étaient pour l'instant dans une mauvaise passe.

« c'est à dire ? »demanda perdu Karadec.

« heu... » Gilles vit au loin Fred qui arrivait et s'obligea à condenser :

« c'est à dire que Morgane c'est fait agresser par un type dans la cité et que Fred n'a rien fait,c'est moi qui suis intervenu en arrivant ».

Karadec serra les poings, au point où ses jointures en devinrent blanches. Il avait la bouche serré et les veines qui allaient explosé. Fred arriva à son niveau à ce moment la et tenta immédiatement de se justifier :

« non mais aussi quand on se sape comme ça faut pas s'étonner de... »

Mais il ne put terminer sa phrase, il venait de s'écrouler au sol. Le commandant Karadec venait de lui écraser son point sur le visage et contrôlait tout son être pour ne pas lui sauter dessus et lui en mettre une deuxième. Le grand breton n'attendit pas une seconde de plus et se dirigea vers la DIPJ sous le regard admiratif de Gilles. Il alla directement dans les toilettes des dames et entra sans frapper, ce qui fit sursauter la jolie rousse qui se trouvait au dessus de l'évier entrain d'essayer d'effacer la trace de la violente gifle qu'elle c'était prise :

« bah vous gênez pas hein » tenta de se reprendre Morgane.

Mais Karadec ne fit pas attention à la remarque et s'avança vers elle, prenant délicatement son visage entre ses mains, et le tournant pour avoir une meilleure vue sur sa joue abimé. Morgane elle se senti défaillir par la délicatesse de son poulet :

« vous inquiétez pas... c'est pas grand chose... » dit-elle d'une voix plus calme qu'a l'accoutumé.

Karadec remit le visage de la jolie rousse à la verticale, lui faisant complétement face :

« on va retourner a la cité et tu vas me montrer lequel exactement t'as fait ça ». Le commandant avait totalement laissé de côté le vouvoiement, on avait touché à la femme qu'il aimait..et c'était inconcevable. Morgane ne fut nullement perturbé par cette intimité créé par un simple changement de mot et rigola nerveusement :

« c'est bien la dernière chose que je vais faire tu vois » dit-elle en le regardant droit dans les yeux. Adam l'a regarda interloqué et Morgane continua :

« bah oui patate, si je te dis qui c'est, tu vas aller lui casser la gueule, c'est pas la peine hein ».

Karadec soupira et alors que ses mains encerclaient toujours le visage de la jeune femme, il posa son front contre le siens quelques secondes. Puis quand il releva la tête, il se perdit dans son regard. Puis il se pencha et captura les lèvre de la jolie rousse qui ne se fit pas prier pour lui rendre son baiser.Quand ils se détachèrent Morgane avait un sourire à décrocher la lune. Elle ne put résister et se hissa sur la pointes des pieds en passant ses bras autours du coup du commandant et ce dernier encercla sa taille pour la rapprocher de lui et l'embrasser de nouveau. Quand ils sortirent des toilettes, Morgane regarda son poulet :

« aller, on va s'occuper de ct'enfoiré ! »

« on reste calme Morgane » répondit Karadec.

« évidement » acquiesça la jeune femme en se dirigeant vers le bureau de Céline.


voila j'espère que le principe vous plait.

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