L'exception à la règle

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                                                          𝐂𝐀𝐋𝐀𝐁𝐑𝐄

𝟏𝟗𝐡𝟒𝟓

Il existe 3 mafia en Italie : la mafia Cosa nostra en Sicile, la camorra à Naples et enfin la Ndrangheta à Calabre.

Je vis à Calabre depuis toute petite, je hais cette ville. Elle dégage que de la haine et de l'hostilité.

J'habite dans un foyer, enfin ce qui était un foyer. Maintenant ce n'est plus qu'un repère pour les alcooliques, les fou, les drogués et les sdf. Je reste ici car je n'ai nul part où aller, et puis, j'ai pris l'habitude.

Je m'appelle Alessia et j'ai 20 ans. J'ai les yeux bleu, les cheveux marron et bouclés. Les douches du « foyer » son négligé et douteuse, l'eau et sale et je n'ai rien pour me nettoyer. J'ai le teint matte et salle.

Il y a 1 seul personne qui compte pour moi sur cette terre c'est Sofia. Elle est ma raisons de vivre. Elle douce, gentille, généreuse et toujours souriante, pourtant je sais qu'elle a vécu des horreurs. Elle a était la seule personne qui a pu me faire aimer la vie. Elle m'a tellement aider, je lui doit ma vie.

Elle a 17 ans. Elle est blonde au yeux vert. Des lèvres rosé et les joues creuser, a cause du fait qu'on ait pas manger depuis plus de 3 jours. Malgré son jeune âge et tout ce qu'elle a traversé elle ne sait jamais plainte. Je l'admire tellement, elle est si courageuse.

Pour manger soit on vas dans des centre pour sdf soit on vole chez les gens.

Je n'aime pas voler chez les habitant, ils sont en danger constant dans cette ville je ne veut pas leur rajouter de la peur alors qu'ils souffrent déjà tous au quotidien.

Je ne sais pas où sont mes parents je ne l'ai ai jamais vu. Depuis que je suis bébé j'habite dans ce foyer.

   

    

           𝟐𝐡𝟐𝟏

Je fait de l'insomnie depuis mes 12 ans je dort presque pas la nuit.

On est dans une de ce qui ressemble à des chambre du foyer. Sofia est a coter de moi, elle dort sur du carton.

Je me lève et sort de la chambre, j'avance dans les couloirs salle, sa sent l'urine. Au fond du couloir il y a une échelle qui mène au toit du bâtiment. Je monte et je m'assois au bord.

Je vois toute la ville. C'est fou comment elle a l'air clame, mais ce n'ai qu'une ville sans cœur et remplie de psychopathe.

Inconnue : À chaque fois que je te cherche je sais ou te trouver, Alessia.

Je la connais cette voix. Je la reconnaîtrais entre mille.

Je ne bouge plus, je suis tétanisée mais je ne le montre pas.

Moi : tu veux quoi ?

Inconnue : Regarde moi quand je te parle.

Sa voix est froide.

Je le sens s'approcher de moi. Je ne veux plus jamais le savoir près de moi.

Inconnue : tourne toi que je puisse voir ton jolie visage, Alessia.

Moi : je ne veux plus jamais entendre mon prénom de ta bouche, loris.

Je le sens me prendre par le cou et me soulever du sol je me retrouve face à lui. Je ne touche plus le sol. Il a une telle force.

Loris : tu croyais que j'allais te laisser t'enfuir sans représailles ?

Moi : j'm'en fou lâche moi !

Il fait un rire nerveux. Sa me fait peur. Mais il faut que je reste forte.

Loris : tu pensais que j'allais te laisser partir si facilement ?

Je prend mon petit cutteur que j'ai tout le temps dans ma poche, et lui plante dans le bras. Il cris de douleurs et me lâche le cou.
Il se tient le bras pour fair stopper le sang.

Je cour en direction de la sorti, je descend l'échelle et cours jusqu'à la chambre ou Sofia dort toujours paisiblement. Je la réveille et là prend par le bras pour la sortir de la chambre puis du bâtiment. Elle est a moitié endormie, elle comprend pas ce qu'il se passe mais elle pose pas de question et elle cours avec moi.

Quand on arrive assez loin du foyer je m'arrête et vérifie si personne ne nous a vu.

Sofia : qu'est-ce qu'il ce passe ?

J'ai toujours protéger Sofia des mauvaise chose que j'ai faite pour survivre.

Moi : il y avais un fou en haut qui a essayer de m'agresser. Ce n'est rien, mais nous ne sommes plus en sécurité ici. Nous devons quitter cet endroit.

Sofia : pour aller où ?

En réalité je n'en ai aucune idée, nous trouverons bien un endroit.

Je ne lui répond pas, mais elle a compris que je n'en savais rien.

𝟑𝐡𝟎𝟓

On a marcher, jusqu'à trouver un coin dans une ruelle humide. On a trouver quelques carton et on c'est allonger.

Sofia : tu crois qu'on auras la paix un jour ?

Moi : je ferais tout ce qu'il faut pour.

Sofia : et une vrai maison ?

Moi : je te le promet.

Le lendemain..

Je me suis réveiller en sursaut, j'allais parler quand je remarque que Sofia n'est plus à coter de moi.

Sofia ne partirais jamais sans me prévenir. Je remarque des taches de sang sur le sol...pas elle.

je m'attendais pas se qu'on passe une soirée calme. C'est ce qui arrive au gens qui dorment dans la rue, ils finissent agresser
ou même assassiné.

Je peux pas rester là à rien fair faut que je la retrouve.

Je ne sais pas où aller ni quoi faire, mais je ne peux pas laisser tomber sans avoir essayé.

Je me lève et commence à courir dans les rue de Calabre. Je m'arrête quand j'aperçois qu'il a plusieurs hommes qui me suivent tous en costard noir ils sont 5.

Je suis suivi.

Je commence à marcher de plus en plus vite, ils s'avance de plus en plus de moi. Je cours le plus vite que je peut. Je passe par des petites ruelles.

J'ai cru les avoir semé quand je sens un mouchoir blanc sous mon nez et ma bouche.

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