L'exception à la règle

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Je croyais les avoir semé quand je sens un mouchoir sous mon nez et ma bouche.

              

Je suis encore sonné. Je trouve pas la force de bouger. Mes mains et mes chevilles sont ligotées à une chaise au milieu d'un pièce sombre.

Sofia.. elle est là à coter de moi. Elle est aussi ligotée à chaise, en sang. Ça se voit qu'elle a souffert. Elle a l'arcade ouverte, une fente à la lèvre et des coupure un peu partout sur son corps. Sa me fait terriblement mal au cœur de savoir qu'elle était avec moi et que je n'ai pas pu l'aider, c'est à cause de moi.

Elle est inconsciente.

Il faut que je trouve un moyen de sortir d'ici.
Ils m'on pris mon cutteur. J'ai plus d'arme et je suis ligoté.

Sofia : Alessia, je suis contente que tu n'ai rien.

Elle arrive à sourire après ce qu'elle vient de subir a cause de moi.

Moi : je suis désoler Sofia, je n'ai pas pu t'aider quand j'ai vu que tu n'était plus là je...

Sofia : arête de t'excuser ce n'est pas de ta faute, et en plus nous n'avons pas de temps à perdre il faut qu'on sortent d'ici le plus vite possible.

J'entend du bruit venant de la porte. Elle s'ouvre sur Loris, et c'est homme.

Je savais que c'était lui, c'était sur. Il lâchera jamais l'affaire avec moi.

Loris : Alessia ! Tu ma tellement manquer !

Il fait un sourire sadique. Je sais qu'il fait sa pour m'énerver mais je craquerai pas.

Moi : tu peux pas vivre sans moi à se que je vois.

Loris : si tu l'dit. Assez blablater passons au chose sérieuse.

Son sourire disparaît directement.

Il sort son téléphone de sa poche, et commence à taper quelque chose. Il tourne son téléphone vers moi. Il me montre un article le nom c'est « une sdf plante un mafieux au cutteur sur le toit d'un foyer abandonné ».

Je reste choquer face à son téléphone.

C'est moi.

Son visage se tend, il me regarde comme si il voulait me tuer.

Sur la photo on me voit quand je dormais dans cette rue avec Sofia.

Loris : tu es célèbre Alessia. Toute l'Italie parle de toi tu le sais sa ?

Je me fiche totalement d'être célèbre ou pas il le sais.

Sofia n'a pas l'air choquer par ce qu'elle vient de voir.

Moi : arrête de parler pour rien pourquoi tu t'en prend à elle elle n'a rien à voir avec cette histoire.

Loris : c'est moins drôle. Tu devrais avoir l'habitude avec moi, Alessia.

Loris n'a pas de cœur, J'ai découvert au fil des années que pas tout le monde n'en a un. Il y a des personnes comme Loris qui ne vive que pour fair du mal au personne qui s'oppose à eux. Si je ne suis pas d'accord avec quelqu'un je le dit fièrement. Et sa en gêne quelques-uns.

Sofia : T'es vraiment qu'un-

Loris la arrêter en mettant son arme sur sa bouche.

Loris : Chut, ma beauté. Tient, tu passeras en première.

Elle n'a que 17 ans. Je peux pas l'embarquer dans mes problèmes à chaque fois.

Moi : qu'est-ce que tu vas lui faire !?

Il sourit et il fait un geste de la main, et part. C'est homme ce mettent tous au tour de Sofia.

J'ai les larmes au yeux. Je peux pas les laisser faire.

Un homme est venue devant moi pour me sourire, c'était un sourire narquois et il me lance un regard tellement arrogant. Je lui ai cracher dans les yeux, il a directement perdu son sourire.

Lui : j'vais-

La porte explose, il y a 3 hommes derrière celle ci, un assez âgé et les deux autre sont jeunes.

L'homme âgé : tu ne vas rien fair de regrettable.

L'homme qui était devant moi ce recule instinctivement de moi et ce met au fond de la pièce comme tout les hommes qui était dans cette pièce.

Je ne comprend plus rien, comme Sofia vu sa tête.

Les trois hommes s'avancent vers nous.

L'homme âgé fait un signe de la tête au deux autre. Il y'en a un qui détache Sofia, et un autre qui me détache, il avais un couteau pour couper les cordes, mais en essayant de les coupés il m'a blessé à la main. Franchement je m'en contre fiche, il n'a sûrement pas fait exprès. Mais il ne dit rien.

Sa fait du bien de sentir libre. J'ai encore les trace des cordes, elles était fortement serré.

Sofia et moi on se regarde avec incompréhension.

L'homme âgé : vous devez vous demander qui nous sommes.

Le timing était parfait. Pourquoi es qu'il sont venu nous sauver ? Comment es qu'ils nous connaissent ? Comment es qu'il savaient qu'on était là ? Trop de questions ce bouscule dans la tête.

L'homme âgé a les cheveux gris avec des yeux bleu, il est accompagné de deux jeunes homme qui doivent avoir un peu près mon âge, ils on tous des costumes. C'est des mafieux. Un à les cheveux long boucle brun qui lui arrive au épaules et il a les yeux vert ( c'est celui qui m'a détacher) et l'autre homme a les cheveux couper, sur le coter et il a les yeux bleu ( celui qui a détacher Sofia) .

L'homme âgé : moi c'est Danté.

Il me tend la main. Je suis suspicieuse mais je lui sert.

Il montre du doigt l'homme à sa gauche celui qui a détacher Sofia.

Danté : lui c'est hélio, il est un peu aigris sur les bords mais tu vas t'y faire.

Comment sa je vais mis faire ? Je ne vais sûrement pas rester avec eux je ne l'ai connais pas.

Puis, il pointe du doigt l'homme à sa droite.

Danté : et lui c'est Nino, mon bras droit.

Pourquoi il nous fait les présentation ? Dans c'est circonstances en plus ?

Danté : suivez nous.

Sa voix n'est ni menaçante ni froide. C'est bizare mais il a l'air gentils.

Je m'approche de Sofia et lui chuchote quelques larmes mots. Elle hoche la tête, puis on les suit. Danté ouvre la porte, il nous laisse passer en première.

Danté : ma fille ..

Je crois qu'il a essayer d'être discret mais j'lai entendu.. sa veut dire quoi sa ?

...