El destino

5/ Début sentimentale ( CORRECTION)

MATHILDE  

9h30, Penthouse 

Je me prépare chez moi, dans mon penthouse, situé dans un coin très égaré de toute la ville. J'ai pris mon indépendance, depuis maintenant 2 ans. Je vivais avec mon frère chez les Ruiz depuis que nos parents ont été assassinée dans une réunion entre mafia du continent, cependant elle est située à 20 km de chez les Ruiz en cas de soucis. Habillé d'un pantalon noir avec haut noir habillé de rangers, accompagner d'une haute que de cheval, je contemple la baie vitrée dans mon salon qui donne sur la ville. Mon téléphone sonne.

- Sì ?  mon sourire s'élargit à l'entente de sa voix.
- Mi corazón, je suis en bas descend je t'attend. Sa voix tellement mielleuse, d'une totalité extrêmement séduisante me fait clairement frissonné. Vyn a été mon hombre de mano  depuis l'âge de mes 17 ans, et il en avait 21 ans. 5 ans, c'est cinq dernières années, passer auprès d'un homme qui à su me protègée et me protège encore, ma clairement fait tomber amoureuse de lui. Nous sommes ensemble depuis 4 ans. Brayan au début l'a très mal prix car Vyn avait mélangé travail, la différence d'âge, et relation personnel, d'autant plus avec moi se qui doubler plus l'insécurité, donc être toujours sur nos garde, mais notre amour a été plus fort que ça, et cela continue. 

Je prend l'ascenseur et arrive au rez de chaussé, les portes s'ouvrent et Vyn m'ouvrit la portière de la Range Rover. Il déposa ces lèvres contre les miennes se qui provoque des étincelles dans mon ventre comme si c'était la première fois. Il monte à mes coté et direction la villa des Ruiz. 

10H, Villa des Ruiz

Vyn m'a expliquer sur la route se qui'il c'est passer hier soir dans la villa, c'est tellement con de leur part sachant que ces pauvres filles n'ont rien demandé et ne savais même pas qu'ils étaient de la mafia colombienne. Je descend de la voiture furieuse, ils ont vraiment pas intérêt à avoir toucher à un seule de leur cheveux ! Je m'enveut de ne pas leurs avoir dit la vérité, j'aurai dû les avertir, sa m'aurait éviter tout confrontation entre eux.

J'ouvre la porte sans toqué accompagné de Vyn, Brayan et Ilario son assis sur le canapé avec quelques guardias.

- tu sais pas toquer avant de rentrer toi ? On t'a pas appris la politesse ou quoi ! Mon regard fixe à mon interlocuteur. Un hombre. 
- J'appliquerai ma politesse quand t'aura fermer ta gueule Manuel.
Je l'ai jamais aimer celui la, toujours à se sentir au dessus de tout Los hombres, son visage balafré le rend mauvais, son sourcils coupé et c'est cheveux bouclé lui donne d'un air d'un sicario, mais âgée. Il se lève mais mon frère le regarde et se rasseye tout en me lançant un regard glaciale. Je ne sais pas se qu'il a voulu faire en se levant, mais il est juste pathétique.

- Elles sont où Myra et Sarah ? C'est quoi ce bordel que vous avez fait hier ?! J'espère vraiment que vous avez pas toucher à un seul de leurs cheveux sinon je vous cillerait à tous les couilles comprendes ?!. Crie-je en furie. Je déteste l'injustice et le fait de s'attaquer au plus faible, et surtout à se qui ont aucun rapport avec nos histoires. 

- Eh soeurette, j'était pas là ! me crie pas dessus en prend toi aux hermanos. Ilario lui donna une tape à la tête, sans plus tarder Enrico descendit des escaliers en marbres, les cheveux en bataille démontrant son réveil.

- Y'a un soucis Mathilde ? Il recoiffe ces cheveux en une main, et se dirige vers la table ou les servantes ont poser le petit déjeuner au jeune jefe du cartel. Il s'assoit, et fait de même.
- Un soucis ? tu a enfermer les filles dans des chambres comme des prisonnières, et tu me demande si y'a un soucis ?! Mais la blague ! Je me lève pour être plus à l'aise à le confronter. Il lève la tête vers moi et souris, si il ne le retire pas je vais le lui arracher.