CHAPITRE 7

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moi : une mission ? Tu crois je suis dans vos délires de mafieux moi ?

Enes : mais elle pète son crâne elle toute les gadji rêverai d'être a ta place.

moi : bah quelle prennent ma place, je leur donne avec plaisir.

Enes : va te changer on va aller dans un restaurant très connu pour être fréquenté par les mafieux en Italie.

moi : je doit encore me faire belle ?

Enes : oui, il va falloir te faire passer pour ma femme.

moi : alors là tu peut vraiment rêver plutôt mourrir que d'être ta  femme !

Enes : ta pas le choix.

moi : j'ai quoi en échange ?

Enes : ma présence.

moi : ah nan merci j'en veut pas

Enes : ta gueule et va te changer tu parle trop

qui lui dit qu'il n'est pas le gars autoritaire qu'il pense être ? Ce soir c'était l'occasion parfaite pour tout gâcher, vous croyez vraiment que j'avais oublier ce qu'il a fait a Aslan ? Ce jour là il m'a brisé en mille morceaux alors a mon tour. Donnant donnant pas vrai ? Je me suis mis en bombe j'avais mis une robe longue noir avec des paillettes dessus, elle avais une fente au niveau de la jambe gauche. Son dos était nu. J'ai bouclés mes cheveux, mis du parfum, un collier, puis me suis beaucoup maquiller. J'ai descendu les escaliers de la villa, Enes me regarder avec des yeux d'admiration mais je m'en fichait complètement.

Enes : quand je dit te faire belle c'est pas autant.

moi : * sourire provocateur * on ne se doit rien.

Il a froncé les sourcils puis est sortie de la villa.

Ahmet : tu joue avec le feu toi. Je serai toi je me calmerait.

moi : je n'ai rien fait de mal, il se vexe seul et a les nerfs chaud tout le temps ce n'est clairement pas mon soucis. Bonne soirée Ahmet.

Puis je suis sortie de la maison. J'ai rejoins Enes dans la voiture. Il ne parlais pas et regarder le vide.

moi : démarre.

Enes : tu donne des ordres à qui toi ? Je te jure Ilayda que si a cette soirée tu ne respectes pas ce que je dit tu est une femme morte.

moi : c'est des menaces ? Car sa ne marche plus avec moi.

Enes : kurvë e pistë. ( sale pute )

moi : serseri. ( Clochard )

Enes : ta dit quoi la ? Je sais que tu m'a insulté.

moi : bah toi ta dit quoi ? Tu crois je sais pas tu m'a insulté aussi ?

Enes : tes pas comme les autres toi

moi : oui c'est sur que je suis pas une pute comme les autres que ta fréquenté.

Enes : eh vas-y je parle pas avec toi c'est mieux.

Je n'ai plus rien dit, il roulait puis moi je regardais par la vitre de la voiture. Il y avais un beau coucher de soleil, il avais mis du pnl, j'avoue je me prenais un peu pour une star mais l'atmosphère et l'ambiance était sympa. A part qu'être a ses côtés était toujours aussi chiant.

Enes : sors on est arrivé.

Que les problèmes commence.

moi : d'accord.

On avançait devant l'entrée du restaurant, les contours de la porte était dorée on aurais dit de l'or.

Enes : tiens moi par le bras.

moi : non.

Enes : dépêche toi ptn

moi : hors de question que j'ai un contact physique avec toi.

il m'a violemment pris mon bras puis la mis en fonction que je m'agrippe au sien. Je n'ai rien dit pour ce coup là, mais j'allais commencer à tout gâcher un peu plus tard dans la soirée. Nous sommes entrés dans le restaurant puis un homme nous a accueilli.

Serveur : Bonjour monsieur Mehmeti, la table 105 a était préparer suivez moi.

Et voilà, il s'appelait donc Enes Mehmeti. J'allais pouvoir rechercher toute les informations sur lui et jouer de sa si il me saoule. Nous nous sommes dirigés vers la table puis l'on c'est assis face a face.

Enes : fait bien attention a ce que tu fait Ilayda.

j'ai souris, puis j'ai regardé autour de moi dans la salle. Un homme me dévoré du regard, j'avais trouver ma proie de ce soir.

moi : Qui est cette homme la bas ?

Enes : un gars complètement fou et con.

Sayez il le détestait, j'en était sur ce qui était parfait pour moi.

moi : pourquoi ?

Enes : ta pas a savoir. Il est dangereux c'est tout.

Le serveur est venu vers nous pour nous demander si l'on avais choisis notre plat. J'ai pris des pâtes au truffes, je détestait sa mais il n'y avais que sa d'un peu près potable. Je détestais les restaurants de luxe, on ne mange jamais a notre faim. Je posé des questions a Enes par apport a l'homme.

moi : de quelle origine est t'il ?

Enes : Turc.

Parfait, tout se déroulé comme je le voulais. L'homme c'est levé et ma fait un clin d'œil, j'ai attendu un peu puis j'ai dit a Enes que j'allais au toilette. Je rejoignais l'homme.

moi : merhaba bu gece benimle kalmak ister misin ? ( Bonjour voulez vous rester avec moi ce soir )

homme : merhaba prenses, böylesine güzel bir kadinin eslik etmesi reddedilemez. ( bonjour princesse, être accompagné par une si jolie femme ne se refuse pas )

L'homme me pris par le bas du dos puis nous avançons en direction de la salle a manger. Enes ne m'avais pas encore vu alors je me suis assis sur l'homme dans le champ de vu de Enes. L'homme me toucher les cheveux ce qui me gênait mais je voulais juste me vengez. Enes me vis enfin et me lança un regard noir. Il se leva d'un coup et marcha d'un pas rapide vers nous.

Enes : LÈVE TOI ! TU ME FOU LA HONTE ICI EN PLUS AVEC LE PLUS GROS DES CONNARDS SALE PUTE T'ES UNE FEMME MORTE ILAYDA

Il pris l'homme puis lui donna des coups sans s'arrêter, il vidait toute sa haine sur cette homme.
L'homme se releva puis sortie une arme, il tira mais Enes réussi par chance a éviter la balle en s'abaissent. L'homme dirigea l'arme vers moi.

Enes : BAISSE TOI !

Je me suis vite baisser, puis Enes me pris le bras puis courra jusqu'à la voiture, il a vite démarré puis a roulait.

Enes : T'ES MORTE ILAYDA TU MA MIS DANS LA MERDE AVEC L'HOMME LE PLUS DANGEREUX SALE PUTE

moi : JE ME SUIS JUSTE VENGEZ DE CE QUE TA FAIT A ASLAN CAR ENFAITE LE GROS CLOCHARD ICI C'EST TOI TU LA TUÉ ENES PUTAIN TA TUER MON COUSIN L'UNE DES PERSONNES LES PLUS IMPORTANTES POUR MOI JE TE DÉTESTE T UNE ERREUR DE LA NATURE TU DEVRAIS MEME PAS ETRE DE CE MONDE QUE TU CREVE SA FERAIT DES VACANCES A TOUT LE MONDE TU SERS A RIEN !

mes paroles était très blessantes, a l'heure d'aujourd'hui je regrette beaucoup. Enes avais le regard vide et sa respiration diminuer de plus en plus.

Enes : sauf que moi j'ai appelé les pompiers pour Aslan. Il est hospitalisé et il est vivant. Je suis pas " sans " coeur comme tu le pense.

Je sentais sa voix faiblir de plus en plus, il avais sûrement dû être très touché parce que j'avais dit et c'est normal.
Plus personne n'a parler du trajet..

A suivre..

Coucouu mes bombes !! Merci pour tout vos vues sur la chronique, sa m'encourage beaucoup en ce moment. Vous voulez que je créer un Snap pour parler de la chronique ? Je pense faire sa si sa perce un peu plus je verrai 💕

Un amour dangereux, mais si sincères.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant