CHAPITRE 9

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moi : j'en ai marre de vivre dans le mensonge, alors dit moi.

Enes : je connais Aslan depuis petit, on était meilleur pote mais tout a changé a cause de bagarre et d'autre chose que je ne peut pas te dire pour l'instant. Tout ce que je peut te dire c'est que on c'est éloigné et que nous sommes des ennemis.

moi : Aslan est un mafieux aussi ?

Enes : je suis pas là pour mettre la merde dans ta famille alors c'est mieux que tu ne sache rien de plus.

moi : Et pourquoi tu as oser me kidnappé alors que tu sais que Aslan est mon cousin.

Enes : je t'ai pas kidnappé, je t'ai sauver.

moi : bah pour l'instant je suis pas heureuse avec toi, je veut rentrer en France et vivre une vie normale.

Enes : quand la soirée de samedi sera passer tu rentreras en France mais sache que maintenant tu sera tout le temps sous ma surveillance.

moi : je veut être libre.

Enes : tu peut pas l'être Ilayda.

moi : mais pourquoi ?

Enes : bon arrête, viens je vais t'emmener dans un kebab.

moi : * rigole * kebab en Italie ??

Enes : bah oui vas-y viens

moi : ta intérêt à se que ce sois bien

Il a souris puis est sortie, je l'ai suivis mais il ne se dirigé pas vers la voiture.

moi : c'est une blague ? On marche la ?

Enes : oui, pourquoi sa te dérange ?

moi : oui je suis vraiment fatiguée Enes.

Enes : oh ça va t'inquiète tu ne seras pas déçu

J'ai levé les yeux au ciel puis je l'ai suivi, nous avons beaucoup marcher le soleil ce coucher de plus en plus. Enes c'est arrêter en face d'une vue immense de la ville, il y avais un beau coucher de soleil.

Enes : bah viens questa ?

je me suis placé a coter de lui, puis j'ai admirer la vue. Enes ma délicatement pris la main, j'étais très gêner mais étrangement je n'ai rien dit malgré le fait que je le détestait. L'endroit était très apaisant peut être pour cette raison que je l'ai laisser me prendre la main. Je sentais son regard poser sur moi, j'ai doucement tourner ma tête, ce qui a provoqué la rotation de mon corps. Nous étions maintenant face a face. Il me dévorait du regard et s'approcher de plus en plus.

moi : * recule * non arrête.

Enes : excuse moi.. je voulais pas te gêner.

Il avais l'air déçu mais je ne voulais pas avoir encore plus de problème, si quelque chose se passer entre nous c'était le début de d'autre problème. Même si il m'attirait énormément je ne voulais pas.

Enes : bon oublie, on va manger.

J'ai juste hoché la tête puis je l'ai suivis, on n'a pas vraiment parler mais pour une fois que l'on était ensemble sans se crier dessus me faisait beaucoup de bien. Nous sommes arrivés devant le kebab il était trop bien décoré j'ai beaucoup aimé.

Enes : cioa chef, servici il tuo miglior pasto ( bonjour chef, sers nous ton meilleur plat )

De parler italien lui donner tellement de charme..

Enes : viens on va s'asseoir la.

Nous nous sommes assis face a face , je n'arrivais pas à tenir un regard dans les yeux d'Enes de plus de 5s. Son regard était très intimidant.

Un amour dangereux, mais si sincères.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant