Je me dirige dehors, l'air frais frappe mes joues.
- Allo, dis-je calmement.
- Bonsoir, Mio amore dit-il d'une voix sensuelle.
Seulement trois mots pour reconnaître sa voix.
- Rossi, où es-tu, dis-je calmement.
- Loin de toi, Alizia dit-il calmement.
- Aurais-tu peur, Rossi, c'est pour ça que tu me fuis, dis-je calmement, mais avec tellement de haine
- Alizia c'est toi qui devrais avoir peur de moi, dit-il calmement.
- Cache-toi bien, Rossi, car le jour où je te trouve, je te torturerai et je te brulerai à vif, dis-je calmement avec un sourire aux lèvres.
- Beaucoup de mots, mais pas d'actes comme ton père, dit-il, son rire se fait entendre dans mes oreilles.
- Va, te f... Connard, dis-je énervé.
Je finis par raccrocher et par rejoindre Alexandro. Je dois lui parler, car j'ai un plan.
- Alexandro j'ai un plan, dis-je avec sérieux.
- Allons dans mon bureau, dit-il, curieux.
- Toi aussi, Alevtina, dis-je avec autorité.
Je suis Alexandro Alevtina sur mes talons.
- Je ne peux plus me permettre de perdre du temps à courir derrière Rossi, je dois le retrouver, dis-je avec tellement de colère.
- Que contes-tu faire, dit-il, il me fixe.
- Je vais partir à sa recherche, dis-je calmement.
- Nos hommes sont déjà à sa recherche, Alizia dit-il.
- Ça prend trop de temps, Alexandro dis-je calmement.- Je ne veux pas que tu partes à sa recherche, Alizia !, dit-il, sa voix s'élève.
- Pourquoi, dis-je calmement.
- Alevtina sort, dit-il avec autorité.
Je regarde Alevtina sortir du bureau.
- POURQUOI ! Dis-je avec autant de colère.
- PARCE QUE TU VAS CREVER COMME TON PÈRE, dit-il. La colère,mélangées à de la peine, sa voix se casse, ses yeux brillent de tristesse.
Il me regarde,je le regarde avec haine
- Je l'ai vu mourir devant moi et je n'ai rien pu faire, Alizia rien, dit-il, sa voix n'était qu'un murmure.
Il baisse la tête.
Je le regarde, aucun mot ne sort,je pars de son bureau.
Je m'arrête et me retourne vers lui.
- Je ne comprends pas, Alexandro pourquoi tu ne le venges pas, pourquoi, dis-je avec tellement de haine
Il me regarde, mais ne dit rien. Je racle ma gorge et soupire.
- Si tu ne fais rien, moi, si je vais venger mon père.Dis-je avec autant d'assurance, et de colère.
Il me regarde, le visage neutre, mais la tristesse se fait sentir dans ses yeux.
- Tu ne peux pas partir toute seule, Alizia dit-il calmement.
- Je le peux et je vais le faire. Est personne, je dis bien personne, m'empêchera, dis-je en m'approchant de lui l'air menaçante
- Alevtina dis-je assez fort pour qu'elle puisse m'entendre.
Elle rentre dans la pièce.
- Prépare-toi et averti une trentaine d'hommes, mais je veux les meilleurs d'entre eux. Moi, je vais préparer les armes et arrêter d'écouter à la porte, dis-je. Elle me regarde choquer.
Elle ne bouge pas.
- Tu attends quoi, va avertir nous hommes et prépare-toi, dis-je énervée.
- On perd trop de temps, chaque seconde est importante, dis-je en regardant Alexandro dans les yeux. Je me retourne et pars.
Elya la femme d'Alexandro me regarde.
- Alizia, dit-elle, mais je la coupe.
- Non, j'ai pris ma décision, Elya pas de retour en arrière, je vais le trouver et je le tuerai de mes propres mains, dis-je avec tellement de haine.
Elle me regarde, puis elle se tourne vers Alexandro
- Donne, lui dit-elle, avec autorité, son regard vers Alexandro
- Elya... dit-il, sa voix n'est que murmure une fois encore.
Hello, chers lecteurs et lectrices préférés, veuillez m'excuser pour cette absence, je reviens en force, j'espère que vous allez bien, moi oui, n'hésitez pas à me donner votre avis sur ce chapitre, nous nous retrouverons au chapitre cinq.😉🫶🏻