Chapitre 11 : Malchance légendaire

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Notes:

Coucou! Ça fait un bail! Ne vous inquiétez guère, cette histoire n'est pas a l'abandon!! J'ai été très occuper durant le mois de mai haha, beaucoup de job + un voyage! 

Merci a tous ceux qui suivent cette histoire, ça me fait vraiment plaisir de la partager.

Bonne Lecture!

POV: Will

La journée c'était si bien passé. Pour la première fois en plusieurs mois, je me sentais bien, en pleine forme, heureux. On c'était bien amuser avec Damian et les autres, en plus du soleil, c'était parfait. C'était le crépuscule et tout le monde était en train de ranger leurs affaires en vue du départ. J'étais en train d'aider Damian avec le matériel de sable quand je vis du coin de l'œil Bruce arrêter de ranger la nourriture.

« C'est une plage privée, je vous demanderais de vous en aller, monsieur. » demanda Bruce a forte voix à un homme assez suspect qui se dirigeait vers nous.

« Il est gigantesque... » commenta Stéphanie.

Ça ne me prit qu'un coup d'œil pour comprendre la malchance légendaire que je possédais. Les autres n'avait pas l'air de voir que cet inconnu ne possédait qu'un œil. Grand n'était pas un euphémisme, le cyclope me dépassait de trois têtes minimums.

« Sauvez-vous » je disais tellement bas que seulement Damian m'entendit.

« Pourquoi? »

« Dans la voiture! » Je disait plus fort. Cette fois-ci tout le monde m'avait entendu.

Le cyclope était encore loin, on avait le temps de s'enfuir sans le combattre si on allait dans la voiture maintenant.

« Damian, va prévenir ceux en dedans, pas le temps de prendre nos affaires, il faut partir maintenant. »

Je ne le laissa pas discuter et couru vers Bruce qui était le plus proche du cyclope. Je le pris par le bras et le tira vers la voiture.

« William? »

« Il faut partir Bruce, j'ai besoin de mon arc. »

Je ne lui donnait pas place à l'objection non plus. J'avais repris mon air de Chef de Bungalow et repartit en courant entrainant Bruce avec moi. Sur le chemin on croisa Steph et Cass qui n'avait pas eu l'air de prendre mes avertissements au sérieux. Je les entraina aussi avec moi.

« Dépêchez-vous! C'est dangereux! » je leur disait avec anxiété. Le cyclope m'avait définitivement vu et quand je me retourna pour voir où il était, je le vis en train de courir après-nous.

« Dans la voiture! Vite, il arrive! J'ai besoin de mon arc Bruce. Vite! »

« Tu le connais William? » me demanda Bruce concerné par la peur que je projetais sans vraiment le vouloir. J'en avais tué des dizaines de cyclope, mais ils avaient aussi tué beaucoup d'entre nous. Je savais mieux que personne à quel point ils étaient vicieux et engendraient des blessures pas jolie-jolie.

« Qui sait, on s'est peut-être déjà croisé, dans tous les cas, lui m'a reconnu. » Je lui dit dans le plus grand des sérieux. Il m'a plus senti que reconnu je pensa tout en prenant enfin l'arc que Bruce m'avais promis. Ce fut Dick qui me tendis mon carquois.

Je tendis la corde, ma main proche de mon oreille, la flèche pointée vers mon ennemi qui courrait vers moi. J'allais décocher avant que Bruce me fît rater mon tir en criant mon nom.

« William! Tu ne peux pas tuer! »

« Il le faut, c'est lui ou moi! De toute façon, il n'a rien d'un homme! »

Solace en GothamOù les histoires vivent. Découvrez maintenant