Des one shots sur des persos d'Hazbin Hotel x Toi
Peut contenir du lemon, je vous préviendrai au cas ou.
Cet histoire se finira en 50 chapitres ou moins, si sa se trouve 100 ;) [A VOIR]
Début: 19/05/24
Fin:
#3 ème de la catégorie Hazbin Hotel le:...
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Vox x fem!Reader
NSFW WARNING !!
### Un Amour Intense
Le fait que Vox puisse se concentrer sur son travail relevait du miracle.
Surtout quand tu lui avais rendu si difficile de penser à autre chose qu'à toi.
Depuis le matin, tu l'avais provoqué et taquiné sans relâche.
Des baisers fugaces, des murmures osés, même des attouchements discrets -
Mais tu ne laissais jamais les choses s'intensifier, jouant à ce jeu de tir à la corde où l'équilibre menaçait de basculer.
Un regard provocateur par-ci, un message suggestif quand tu savais qu'il regardait son téléphone -
Tu dansais si près du feu sans jamais te brûler.
Et Vox était presque à bout de nerfs face à tes taquineries.
Mais lorsque tu entra de nouveau dans son bureau, les papiers qu'il traitait devinrent vite secondaires.
Après tout, tu étais toujours au premier plan de ses pensées.
« Hé Vox, tu es occupé ~ ? »
Ton ton était mielleux, comme une drogue enivrante dont il était accro.
L'overlord avec qui tu sortais avait déjà eu son lot d'amours et de relations.
Mais aucune n'était comme toi.
Du moins pas dans le sens conventionnel.
Personne n'avait jamais réussi à l'envoûter comme tu le faisais.
Il était tombé sous ton charme, complètement ensorcelé.
Et tu n'avais pas l'intention de le laisser partir.
Vox posa son stylo et leva les yeux vers toi, croisant les bras et se penchant en arrière sur sa chaise.
« J'étais en train de travailler, mais il semble que tu ne vas vraiment pas me laisser faire. »
Son regard sur toi était intense, causant une charge électrique entre vous.
C'était prévisible après avoir joué avec lui toute la journée.
Mais cela ne signifiait pas que tu étais prête à arrêter de jouer et céder.
Tu souriais, t'approchant de lui et déposant un baiser au coin de son écran.
« Pas vraiment, je voulais juste m'assurer que tu ne te surmenais pas. »
« Eh bien, avec toi autour, il semble que je ne peux presque pas travailler du tout, ma chère. »
