the opposite boys

Chapitre 1

Do-Yun

Je dois me dépêcher je suis déjà très en retard, ne pas être à l'heure pour son premier jour de cour dans un autre lycée peut faire mauvaise impression. Aujourd'hui c'est la rentrée, et pour la première fois de ma vie je vais étudier dans un lycée à Los Angeles, j'ai déjà visiter la ville car je vivais de temps en temps ici mais cela fais maintenant quatre ans que je n'y suis pas retourné.

Ma mère est américaine et mon père coréen et donc je suis un mélange des deux et mon prénom et tout aussi aléatoire mon prénom est coréen et mon nom est américain, Do-Yun Davis. Pour passer inaperçu c'est raté. Le seul avantage que j'ai c'est de parlé coréen puisque j'y vivais avant de venir ici. J'ai hâte de redécouvrir cette vile mais j'ai tout aussi peur d'être dessus car je m'attends a ce que tout soit comme avant mais en quatre années les Etats-Unis ont du bien évolué.

J'ai toujours était quelqu'un d'asser réservé, je laisser les gens venir et après je n'entrenais pas la relation je me disais que sa ne m'apporterai rien puisque j'avais déjà mon meilleur ami. Je me dis que si je suis amener a rester seul ce ne serait pas si grave que ça en à l'air. Ce doit être mon dur et réel destin mais peut-être qu'un jour je rencontrerai la fille parfaite qui voudra de moi qui ne me jugera pas et tout ce qui va avec.

Je m'empresse de glisser mon pied recouvert d'une chaussette blanche à rayure noir, dans ma chaussure puis l'autre pied qui lui est enveloppé d'une chaussette noir à pois rouge. J'étais tellement presser que je n'est pas fais attention à mes chaussettes mais ce n'est qu'un petit détails. Personne, de sensé, ne ferai attention à ce que je porte en dessous de mes chaussures. Ce qui compte vraiment c'est ma tenu d'aujourd'hui, vu qu'il fais asset chaud, j'ai mit mon uniforme d'été, un pantalon beige, cravate, chemise et la veste qui va avec.

Là où je vis désormais n'est pas une maison très grande ni trop petite, un autre de ses avantages est qu'elle n'est pas très loin de mon nouveau lycée ce qui est pratique en soit. En sept minutes je suis arrivé.

Je suis arrivé...j'angoisse mais une autre parti de moi est curieux et veux donc entrer le plus vite possible mais l'autre parti ne veux pas, elle me dit de rentrer chez moi en courant ce que je ne dois surtout pas faire je ne peux pas me permettre de rater la premier jour en plus de tous ça j'ai réussi à rattraper mon retard de ce matin.

Les portes juste en face de moi sont tellement imposantes mais je pense que ce qu'une impression. Je me demande si les autres vont faire attention à moi ou si ils au contraire ils n'en auraient rien à foutre.

Logiquement je ne suis qu'un première année puisque ce n'est que ma première mais je suis en deuxième année. Ce qui va forcement attiré les regards, ce qu'au passage je voudrais bien éviter. Comme dans tout lycée il doit y avoir une sorte de chaine sociale, vu que je viens d'arriver je dois me situer tout en bas ce qui n'est pas très bon car souvent quand tu te situes à cette endroit tu te retrouves harceler, critiquer, agresser et renier de tout le monde donc pour remoter ce n'est pas simple. Si jamais je veux remonter il faut que je le fasse maintenant pour avoir juste un ami pas plus mais si ça ne fonctionne pas ce ne serait que mon triste destin.

Je me décide enfin à avancer quand tout à coup quelqu'un me rentre dedans, il lève la tête ne s'excuse même pas et pour couronner le tout il me dévisage ! Peut-être n'a t'il jamais vu d'asiatique dans son lycée. Après une longue minute à m'avoir fixer il commence a prononcé quelques mots.

-Je t'avais pas vu mais toi c'est sur que tu ne dois pas voir grand chose avec ces yeux, commença ce jeune homme, bref pardon je ferai plus attention.

-Ce n'est pas gra...

-D'ailleurs je ne t'avais jamais vu au par avant, c'est sur que si il y avait un chinois ici je le serai. Bref je te laisse. Dit-il en repartant.

Chinois ? Je ne le suis même pas, je ne devrais pas trop m'attarder sur ce genre de personne raciste avec leur blague les plus nuls que je n'ai jamais entendu. Je pose enfin ma main sur la porte pour la pousser, et merde c'était écrit en grand "TIRER" je me sens tellement bête mais heureusement il n'y à personne dans les couloirs. Mais d'ailleurs où sont ils passer ?