Sacré Merdella !

Révolution dans l'amphi N

Alors que je suis encore sous le choc de l'incident avec Marine Le Pen, la porte de l'amphithéâtre s'ouvre brusquement, laissant entrer Emmanuel Macron, suivi d'une troupe de conseillers et de gardes du corps. Il s'arrête net en voyant la scène qui se déroule devant lui, un mélange d'étonnement et d'indignation sur son visage."Qu'est-ce que c'est que ce bordel ?" s'exclame-t-il, sa voix portant à travers la salle dans un silence presque irréel.

Je me sens comme un enfant pris en flagrant délit, incapable de trouver les mots pour expliquer cette situation absurde. Marine Le Pen, elle, semble tout à fait à l'aise, lançant un regard malicieux à Macron avant de répliquer d'un ton taquin : "Oh, juste un petit moment de spontanéité, Emmanuel. Tu devrais essayer parfois, ça détend."

Les murmures dans l'auditoire montent d'un cran alors que la confrontation entre les deux figures politiques les plus en vue du pays s'intensifie. Je reste là, interloqué, alors que le spectacle se déroule autour de moi, me demandant comment diable je me suis retrouvé au centre de tout ça.

La journée avait commencé avec une simple envie pressante, et maintenant me voilà au cœur d'un véritable chaos politique. Je me demande ce que demain me réserve, mais pour l'instant, je suppose que je vais juste essayer de survivre à cette journée complètement folle.

Emmanuel Macron, après avoir pris connaissance de la scène chaotique dans l'amphithéâtre, semble bouillir de colère. Son visage se crispe, ses poings se serrent, et il lance un regard furieux à Marine Le Pen et à moi-même, comme s'il cherchait un coupable à cette situation absurde."Ça suffit !" tonne-t-il, sa voix résonnant dans la salle avec autorité. "Je ne tolérerai pas ce genre de comportement dans notre démocratie. C'est inacceptable !"

Sans plus attendre, il ordonne d'une voix ferme : "Dissolution de l'Assemblée Nationale ! Maintenant !"

Le chaos s'empare de l'amphithéâtre alors que les députés présents tentent de comprendre ce qui se passe. Des cris, des protestations et des exclamations de surprise remplissent la pièce. Certains applaudissent, d'autres se lèvent en signe de désaccord, mais la décision est prise.

Emmanuel Macron, le visage impassible malgré sa colère palpable, ordonne que le vote soit organisé sur-le-champ. Les responsables s'affairent à mettre en place les urnes improvisées pendant que les députés se préparent à exprimer leur voix dans cette situation inattendue.Je reste là, presque abasourdi par le déroulement des événements, réalisant à quel point une simple envie pressante a pu déclencher une réaction en chaîne d'une telle ampleur. Dans cette atmosphère tendue, je me demande ce que l'avenir réserve à notre pays, mais pour l'instant, je suis juste un témoin impuissant de cette journée qui restera gravée dans les annales politiques.