A travers tes yeux

La lune brillée sur Liones, éclairant les habitants qui pour certains pleuraient les victimes provoquées par la bataille qui a eu lieu au sein de la ville.
De son côté Lancelot qui durant cette bataille avait revu son maître Jericho qu'il avait chercher durant deux ans c'était isolé sur l'un des balcon du château de Liones afin de pouvoir repenser tranquillement à se qu'il avait entendu à travers les pensées de celle qu'il considère comme une soeur, "Je t'aime en tant qu'homme... Je suis amoureuse de toi, Lancelot" telles étaient les pensées de son maître qu'il se ressassait. Il ne comprenait pas comment il avait pu ne pas le remarquer plus tôt, il se disait que si il s'en était rendu compte plus tôt il aurait peut-être pu faire quelque chose.

Lancelot: Et qu'est-ce que je suis sensé faire de cette bombe que tu m'as lâché...? Tu as toujours été qu'une soeur pour moi... Et puis l'amour et une chose qui m'est encore inco......

Mais à l'instant où il prononça ces paroles et avant qu'il finisse sa phrase, le visage d'un jeune homme au cheveux argenté et au sourire innocent apparu dans son esprit se qui le fit sourire sans qu'il puisse s'en empêcher.

Lancelot: Je devrais peut-être allé m'assurer qu'il va bien... J'y suis allé un peu fort pour le stopper...

En effet quelques heures plutôt durant la bataille il avait dû user de la manière forte pour arrêter son ami qui avait perdu le contrôle de ses pouvoirs démoniaque. Et alors qu'il se disait qu'il ferait mieux d'aller le voir il entendit des pas se rapprocher de lui, il jeta donc un coup d'œil derrière lui et aperçu justement la personne qui occupait maintenant ses pensées.
Tristan Liones. Il portait une tunique blanche à manches longues, un pantalon noir qui épouse parfaitement ses jambes et des bottes blanches qui arrive au niveau de ses mollets. Il semblait en pleine forme pourtant Lancelot ne pu s'empêcher de penser qu'il devrait être entrain de se reposer.

Tristan: Oh? Lancelot? Que fais tu ici à cette heure-ci?

Lancelot: Je te retourne la question, ne devrais tu pas être entrain de te reposer?

Tristan: Je n'ai pas sommeil. Dit-il en venant se placer à côté de son ami. Les derniers évènements de la soirée n'arrête pas de tourner en boucle dans ma tête...

Lancelot: Et qu'est-ce qui te tracasse à se point dans se qui c'est passé?

Les yeux des deux garçons se croisèrent à cet instant se qui provoqua à léger rosissement des joues du jeune prince qui fut comme envouté par les prunelle rubis de son ami.

Tristan: Euh... Je...

Le prince avait tout simplement perdu ses mots se qui arracha un sourire amusé au blond qui sans vraiment s'en rendre compte c'était tourné face au jeune homme à ses côté et avait glissé ses doigts sur la joue de celui-ci avec une extrême douceur se qui provoqua un léger sursaut à Tristan qui ne si attendait pas et le fit rougir encore plus.

Tristan: L-Lancelot...? Qu'est-ce que tu fais...?

En se rendant compte de son acte Lancelot retira rapidement sa main de la joue de Tristan comme si il s'y était brûlé et ses joues se teintèrent d'un léger rose qu'il cacha en détournant la tête fixant ses yeux sur le ciel.

Lancelot: Euh... Rien désolé...

PDV Tristan:

Bon sang mais qu'est-ce qui vient de se passer!? Mon cœur bat tellement vite et fort que j'ai l'impression qu'il veut sortir de ma poitrine et la douce caresse des doigts de Lancelot sur ma joue lui avait fait rater un battement et il y a cette sensation étrange dans mon estomac et cette chaleur qui envahit tout mon corps... Ce n'est pas la première fois que je ressens se genre de chose en la présence de Lancelot et je sais très bien se que ça signifie mais se que je ne comprend pas c'est pourquoi Lancelot se comporte ainsi avec moi se soir...
Pourtant qu'importe la raison je donnerai n'importe quoi afin de pouvoir juste sentir une nouvelle fois la douceur de sa peau contre la mienne, afin de pouvoir à nouveau plonger mon regard dans le siens et je donnerai n'importe quoi afin de pouvoir une fois, rien qu'une fois, me blottir dans ses bras et ressentir la chaleur de son corps contre le miens.