« 𝚂𝚘𝚢𝚎𝚣 𝚜𝚘𝚋𝚛𝚎𝚜, 𝚛𝚎𝚜𝚝𝚎𝚣 𝚎́𝚟𝚎𝚒𝚕𝚕𝚎́𝚜! 𝚅𝚘𝚝𝚛𝚎 𝚎𝚗𝚗𝚎𝚖𝚒, 𝚕'𝚎𝚜𝚙𝚛𝚒𝚝 𝚍𝚞 𝚖𝚊𝚕, 𝚎𝚜𝚝 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎 𝚕𝚎 𝚕𝚒𝚘𝚗 𝚚𝚞𝚒 𝚛𝚞𝚐𝚒𝚝. 𝙸𝚕 𝚟𝚊 𝚙𝚊𝚛𝚝𝚘𝚞𝚝 𝚎𝚝 𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚚𝚞𝚎𝚕𝚚𝚞'𝚞𝚗 𝚊̀ 𝚍𝚎́𝚟𝚘𝚛𝚎𝚛. 𝚁𝚎́𝚜𝚒𝚜𝚝𝚎𝚣-𝚕𝚞𝚒 𝚎𝚗 𝚛𝚎𝚜𝚝𝚊𝚗𝚝 𝚜𝚘𝚕𝚒𝚍𝚎𝚜 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚊 𝚏𝚘𝚒. 𝚅𝚘𝚞𝚜 𝚕𝚎 𝚜𝚊𝚟𝚎𝚣, 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎 𝚖𝚘𝚗𝚍𝚎 𝚎𝚗𝚝𝚒𝚎𝚛, 𝚟𝚘𝚜 𝚏𝚛𝚎̀𝚛𝚎𝚜 𝚎𝚝 𝚜𝚘𝚎𝚞𝚛𝚜 𝚌𝚑𝚛𝚎́𝚝𝚒𝚎𝚗𝚜 𝚜𝚘𝚞𝚏𝚏𝚛𝚎𝚗𝚝 𝚌𝚘𝚖𝚖𝚎 𝚟𝚘𝚞𝚜. »
𝟷 𝙿𝚒𝚎𝚛𝚛𝚎 𝟻:𝟾-9
Issac ILUNGA
MBUYI'S HOME
donc là je suis venu chercher abi pour l'emmener faire du basket c'était ça la fameuse surprise
Conscience : orh je suis déçu de ouf je pensais c'était un truc de ouf je sais pas moi journée au spa ou des vacances improvisé
eh bah non une prochaine fois peut être
Conscience : tchip
tonton Fredy :oh bonjour Issac
- bonjour tonton Fredy ça va
tonton Fredy : ça va et toi mon fils
- oui moi ça va
tonton Fredy : à la maison aussi ça va les parents , Brandon ,Hannah ,Noémie tout le monde va bien
- par la grâce de Dieu oui tout le monde va bien
tonton Fredy : c'est bien alors , t'es venu chercher quelque chose
- non je suis venu chercher Abigail
tonton Fredy : *petit rire* tu sais que Dieu me parle aussi n'est ce pas
- oui tonton Fredy
tonton fredy : Dieu m'a parler de votre relation bien avant que vous vous connaissiez
- *rire gêné*
tonton Fredy : soit pas gêner avec moi Issac
- *petit rire* y' a pas encore de relation concrète entre Abigail et moi pour l'instant mais c'est vrai que DIeu m'a envoyer plusieurs signes mais je lui fait confiance et je le laisse nous guider
tonton fredy : amen mon fils mais en tout cas t'as toute ma bénèdiction
- Mer-
Abigail : bénédiction de quoi
tonton Fredy : bonjour Abigail ça va oui moi ça va très bien merci de demander
Abigail : pardon papa ça va bref bénédiction de quoi
tonton Fredy : ça te regarde pas sur ceux amuser vous les enfants
- merci papa
puis il s'en alla
- toi combien de fois je t'ai dit de pas me couper la parole
Abigail : pardon nounours
- tchip va la bas avec tes vieux surnoms
Conscience : tu dit ça mais on sait tous que t'es content
oui bon faut pas croire aussi hyn
- bon viens on n'y va
on part en marchant jusqu'au terrain de basket pendant le trajet elle fessait n'importe quoi elle s'arrêtait pour danser bref no comment
Conscience : tu dis ça on dirait toi t'as pas danser
on parle pas de moi mais d'Abigail
bref
on arrive sur le terrain de basket
Abigail : me dit pas qu' on va faire du basket
- bien sur que si
Abigail : mais je suis nul au basket moi
- *rire* je sais mais je vais t'apprendre t'inquiète c'est pas compliqué
Abigail : hum *en boudant*
je lui apprend les base puis un moment elle se prend la balle sur le front j'avais envie de rire mais elle allait peter un cable
je vais vers elle et je lui fait un bisous sur le front
- ça va
je voyais déjà qu'elle avait les larmes au yeux
Abigail : oui *voix tremblante *
- aller viens
elle viens se blottir dans mes bras on est rester comme ça pendant un long moment jusqu'à ce que mon téléphone sonne
- purée c'est qui ça encore *souffle*
Abigail : *rire*
je répond sans regarder qui c'est
- allo *boude*
brandon : donc moi je t'appelle et tu boude
- non pardon tu veux quoi
brandon : même pas un ça va
- je sais que tu veux quelque chose tu veux quoi
brandon : booon tu te souviens y' a quelque mois tu m'avait demander un service et t'as dit que t'allais me le rendre
- je vois pas de quoi tu parle
brandon : si même on était à l'église et tu voulais fuir Jezabel
- ahhhhh le premier dimanche ou je suis arrivé
brandon : ouais pile
- orh du coup tu veux quoi
brandon : que tu aille chercher Anaïa à l'école parce que tout le monde est occuper
- ok pas de soucis
brandon : et comme je sais que t'es en haut parleur *rire* SALUT ABI *crie*
abigail : salut brandon *rire*
brandon : bon je vous laisse bisous les amoureux
et ils nous raccroche au nez
à suivre
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Bolingo
Spiritual« Je vous en supplie, filles de Jérusalem, ne réveillez pas mon amour, ne le dérangez pas avant qu'il donne son accord! » CANTIQUE DES CANTIQUES 8:4