Les effluves des fleurs, mon Hanahaki
Je vivais une vie paisible, puis je t'ai croisée
Les cheveux virevoltants dans le vent, belle comme une divinité.
Je fus comme envoûtée par toi, une magnifique femme
Sans me douter que mon quotidien, par cela, deviendrais infâme.
Je tombais pour mon plus grand malheur, éperdument amoureuse,
Je vivais dans un faux-semblant de rêve éveillé qui paraissait si vrai,
Avec toi, chaque jour, j'appréciais énormément discuter...
Mais je fus soudainement prise d'une toux douloureuse :
Tu aimes quelqu'un. C'était un cauchemar qui, pendant des mois, durait
Je crachais les beaux et innocents pétales blancs de ma fleur préférée
Mêlé au rouge écarlate de mon propre sang. C'étaient d'incroyables lys.
Et il m'arrivait souvent de m'étouffer avec elles, c'était un supplice.
La maladie d'Hanahaki me tuait dans de délicieux effluves et dans mes peines.
De cet amour non partagé, je m'éteins dans un magnifique jardin d'Eden.
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Poèmes - 2
PoetryCeci est mon deuxième recueil de poème et fait écho au premier. Il comportera donc des sujets sensibles à éviter selon un certain âge comme le suicide ou la violence... Sur ce, je vous souhaites une bonne lecture