Lorsque la nuit tombe et que la lune se lève,
Je vois le ciel s'éclairer sous un nouveau jour.
Les papillons dansent, ils bourdonnent leur amour,
Puis quand l'hibou vole, cherchent une issue de secoure.Cette issue, elle n'existe pas.
Mais la Mort, elle, sait puis le foudroie.
Et l'hibou n'a plus faim, il est rassasié
Par le meurtre qu'il a commit, par la peur qu'il a semé.La satisfaction brille alors dans ses yeux,
Tandis que vigoureusement, il dévore son dû,
Qui en cette nuit sombre où brille les cieux
Finit par rendre l'âme, lui innocent tribu.Les gens aiment chasser leurs proie, les engloutir en souriant.
Jusqu'à ce que l'hibou se fasse manger par un serpent.Les autres sont des papillons de nuit
Qui malgré eux se font dévorer.
Ils voulaient vivre une vie tranquille,
Malheureusement, ce n'est pas ce que l'hibou a décidé.Je suis un papillon de nuit.
Le ciel nocturne est mon seul refuge.
Seule la lune me comprend.
Seules les étoiles m'écoutent.Mais le hibou n'est pas loin, et n'attend que ma chute.
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Lorsque tout devient nuisible
DiversosLe hibou me guette, du haut de sa branche, attendant que je pointe le bout de mon antenne. Moi, papillon de nuit, attend patiemment ma fin proche. Le hibou rit. Je pleure. Mais qui se préoccupe de moi, nuisible ? La lune, les étoiles. La noirceur...