VI

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PDV Maxime 

Sidjil : C'étais comment ta journée ?

Moi : Tranquille. Sauf le petit moment où on a été chez le directeur, mais bon. Sinon c'étais bien. Toi ?

Sidjil : Chiant, mais chui avec toi maintenant, donc c'est mieux.

Moi : Pff.. Espèce de Lover. 

Sidjil : Bah t'aime bien, donc...

Moi : J'avouerais jamais que j'aime quand tu fait ton Lover. 

Sidjil : Aller, dit le. Juste une fois.

Moi : Nan. 

Sidjil : Pour moi. 

Moi : J'ai quoi en échange ?

Sidjil : Je sais pas, propose. 

Moi : Je veux des câlins, un massage, et trois dîner ensemble par semaine.

Sidjil : J'aurais pas du te laisser proposer. 

Moi : Effectivement. Mais maintenant t'es obliger. 

Sidjil : Donc je vais le faire, mais toi t'avoue maintenant. 

Moi : J'aime beaucoup trop quand tu fait ton Lover. 

Sidjil : Pourquoi ?

Moi : Ça me prouve que tu m'aimes, et je trouve ça super mignon.

Sidjil : Je te prouverais de n'importe quelle façon que je t'aime. 

Il m'embrasse doucement. 

Sidjil : Je t'aime. 

Moi : Moi beaucoup plus !!

Sidjil : Nan moi ! 

Moi : Moi !!

Sidjil : Je t'aime encore plus plus. 

Moi : C'est moi qui t'aime le plus. 

Sidjil : Bon, ok. Mais t'a raison juste cette fois.

Moi : J'ai tout le temps raison. 

Il rit d'une voix calme.

***

( Un mois + tard )

PDV Sidjil 

Je rentre des cours, après Maxime. J'avais des chose a régler, je suis donc parti plus tard. 
Maxime est bizarre en se moment, il a l'air plus distant ou plus distrait. Il m'inquiète. 
Je décide d'aller cogner a sa porte, comme chaque fois où j'arrive après lui. 

Toc toc 

Maxime : Entrez. 

Dit-il faiblement. 

Je fait donc ce qu'il a demander. 
Je le vois coucher sur son lit, sur le ventre, la tête dans l'oreiller.

Moi : Salut Maxou, ça va ?

Maxime : Oui. 

Je m'assoie à côté de lui. 

Moi : T'es bizarre en se moment Max, t'es sur que tout vas bien ?

Maxime : Oui putain. J'te l'ai déjà dit. Je vais bien Sidjil. 

Moi : Maxime. Je sais très bien reconnaître ton attitude triste. Je sais que ça va pas. Parle moi s'il te plait. 

Il tourne sa tête, me regarde, et fond en larme. 
Je vais directement le prendre dans mes bras. Je le place sur mon corps, encore a moitié assis, moitié couché. 
Je lui caresse les cheveux ainsi que le dos. 
Il pleure toute les larmes de son corps, ça me fait tellement de peine. 

Toujours des lycéensOù les histoires vivent. Découvrez maintenant