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PDV de Rachelle.

Après le départ de cet imbécile, je rentre chez moi, d'abord je pars voir la petite qui est toujours dans la cave, j'ouvre la porte et ça m'étonnait pas de la voir inconsciente.
Je sais pas ça fait combien de jour qu'elle est là-dedans..
Je pars chercher de l'eau et la lui verse dessus. Elle se réveille, elle a les levés sèchent, je crois bien qu'elle est affamée et assoiffée.

Moi: suit moi.

Elle a du mal à se lever mais elle y arrive quand même.
Je l'accompagne dans la cuisine.

Moi: ya de ma nourriture dans le frigo, sers toi. Et surtout ne dépasse pas une pomme et un verre de jus.

Elle:..

Moi: c'est capté ?

Elle fait un oui de la tête.
Elle me casse les cou*lles cette petite peste. Je crois que je vais l'abandonner à la décharge, elle sera mieux là-bas, et comme ça, ça me ferras des vacances.

J'attends 10mn environ avant d'aller la voir dans la cuisine.

Moi: t'as fini de man... naaann, ne me dit pas que t'as tout avalé ? ( dis-je en voyant le frigo vide ).

Elle: je.. j'avais beaucoup faim ( dit-elle la tête baissée )

Moi: MAIS JE M'EN FICHE QUE T'AI FAIM OU PAS. JE T'AVAIS POURTANT PRÉVENU IMBÉCILE

Elle commence à verser des larmes et ça met encore plus sur les nerfs.

Moi: sèche moi ces saletés de larmes avant que je ne commets l'irréparable.

Elle les essuies.

Moi: approche maintenant.

Elle tremble de peur et continue toujours avec ses pleures. Retenez-moi de pas lui faire du sal.

Moi: j'ai dit approche, sal*pe.

Elle avance vers moi, je lui colle une grosse gifle, de ce fait, sa tête cogne la table.

Moi: ça apprendra à ta mère de voler l'homme qui lui appartient pas. Famille de p*te.

Je lui en donna une autre.

Elle: j'ai mal ( pleure )

Moi: tu veux que je t'en donne une autre ?

Elle: non, s'il vous plaît, j'ai mal

Moi: attends j'augmente ta douleur.

Elle: non je vous en prie.. ( pleure )

Moi: arrête avec ses foutues pleures et suis moi.

Elle se lève et me suis.

Moi: monte là-dedans ( dis-je une fois montée dans la voiture )

Elle monte et je prends la route.

On fait une heure de trajet, cette peste n'arrêtait pas de pleurer et ça me soûlait grave.

Bref je me gare à côté et on descend, cette décharge pue toujours, pas étonnant que c'est habitants soit aussi sales.

Moi: attention, je ne veux qu'aucun mot ne sort de ta bouche, compris ?

Elle fait un oui de la tête.

Moi: bien. Suit moi

Elle me suit, je l'amène chez le vieux homme Abdoul, celui qui s'occupe et maltraite les enfants malpoli et insolent comme elle. Il s'occupera bien d'elle et la mettras à sa place.

Maïmouna: mon mariage forcé TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant