chapitre 14

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IVAN:

J’ai passé le reste des heures à fixer un point imaginaire sur le mur , sans rien penser ce qui m’à crue être bizarre

Bizarrement Je me sens bizarre

Les rayons du soleil passés à travers les baies vitrés du salon
La lumière recouvre entièrement ma chambre

Ma montre sur la table me montre qu’il est déjà 7h passé

Je ne sais si cette paresseuse a déjà commencé à faire ce que je lui avais demandé de faire avec l’intruse

Kev avait quittait les lieux dès 4h pour préparer les autres
Aujourd'hui allé être une mission capitale

Buter ce fils de pute , qui avait osé semer un tel désordre chez moi sans vraiment y être

Je me leva du lit en direction de la salle de bain
L’eau chaude qui jahissais me fesait un bien

Je ne pris que quelque minuite avant de sortir de la douche
Debout devant mon armoire , une serviette enroulant ma taille , je pris un simple jogging et un tee shirt assortie

Mes cheveux toujours mouillé, je descendis avec cette même serviette sur la tête , essayant le plus que possible de les sécher

je me dirigea vers la cuisine me prépare un bon café

Le son de la télévision résonné dans la pièce, ma tasse de café dans la main je m’approcha du canapé

Elle etait assise en pyjama,  un bol de céréale à la main,  elle fixai avec attention cette même chaîne ( bob l’eponge)

Ses cheveux attaché en chignon,  l’envie me poussa à glisser mes doigts dedans
Je pris sur moi et enleva cette idée de ma tête

:- t’a pas que ça à faire que de squater mon salon dis je

Elle se tourna et elle encra  ses yeux vert dans les miens , la couleur de ses yeux est si intense
Sa me mets hors de moi

Louwana:

Cette voix rauque me cassait les tympas
Je me tourna vers lui et répliqua froidement

:- t’as pas que ça à faire que de te sécher les cheveux dans mon espace personnel

Il posa sa tasse , d’un air irrité il contourna le canapé pris mon bol de céréale et le lança par terre

:- t’en a après mon p’tit dej ou quoi dis je ahuri

Il me fit basculé  sur le canapé de façon à ce que je sois étendue et plaça une main dans chaque côté de ma tête

Il abaissa son visage jusqu’a ce qu’il ne reste que peu d’espace entre nous

:- j’en ai après toi dit il

:- je t’ai rien fait repondis je du tic au tac

Ses lèvres effleure mon oreille,  son souffle se posa sur mon coup

Il fait chaud d’un coup

:- écoute moi bien dit il , t’a intérêt a bien te tenir car si t’es encore en vie c’est grâce à moi  entedies ( entendue) repris t’il

Ses yeux se posèrent sur moi , jusqu’à ce que je sente son haleine mentholé
Quelque centimètres séparait nos lèvres

  >>Louwana<<Où les histoires vivent. Découvrez maintenant