chapitre 7 ( reecris)

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Louwana:

Son visage rouge colère, un souffle saccadée, il s'approchait de nous le regard glacial

-: remet la ou tu l'as trouvé

-: non elle doit resté en forme, fous nous la paix

-:t'es fatigante a la fin ,repris le grand brun, elle ne t'appartient pas lai....

-: elle est à nous deux répondit kassia en le coupant

-: je ne suis la propriété à personne dis je en croisant mes bras sur ma poitrine

Son visage derriva sur le mien et d'un air hautain il dit ,

-: tu a tendance à trop l'ouvrir et pour cela tu es punie

Il pris possession de mes deux poignées, et il avait tendance à trop faire ça, sa prise n'était pas du tout délicate, a chaque fois je m'en sortait avec des bleus

-: lache la, lui cria sa sœur

Mais bien sur il ne l'ecouta pas et m'emmena là où j'étais y'as quelques heures. Il me lança tel un sac que j'aurais pue y laisser un membre

-: c'est très gentleman, tel un homme qui se respecte dis je en levant les yeux

-: tu mérite de tout tesoro dit il en me dévisageant

-: enleve ce foutu nom de ta bouche crachais je

Il se pencha de façon à ce que je sente son souffle entre mon coup et me surssura à l'oreil

-: je me ferais un plaisir de continué, et quand sa me plaît l'intruse moi je.........

Il s'arretta nette et ne dis plus rien , je me questionnnais sur la fin de sa phrase .
Un autre de ses souffle vient se loger sur mon coup , il leva sa tête recula de deux pas et dit ...

-: continue comme ça et je t'envoie directe en enfer

Je me leva et lui donna un coup de tête, je ne pouvais plus le supporter, mon coup était tellement fort qu'il failli tombé et moi de mon côté j'étais déjà par terre

-: mais t'es folle?! Je vais te....

Il ne finit même pas qu'il me plaqua au sol , et serra mon coup , j'étais à bout de souffle tellement la pression était énorme.
Il pressa de plus en plus et me relâchant doucement, glissa sa main jusqu'à mon visage et me fixa attentivement

-: ta peau est tellement douce, elle pourrait se revendre pour quelque millions dit il un léger rictus au levre

Je ne voulais plus répondre, je n'ai pas du tout envie de mourir ici et peut être un jour je m'enfurais .

Il se leva de mon corps et pris la porte sans oublier de la fermer

-: je n'allais tout de même pas rester encore ici soupirais je
ma chambre au bar était bien mieux et cellina me manque

3 jours plus tard :

Des jours passés et j'était remis ou j'étais cette foutue salle qui empestais de partout

je n'avais rien avaler et passé mon temps a contempler les grosses araignée plus gros que mon poing collé au mur .

Le carrelage m'enlevé des frissons a chaque mouvement ,c'était si froid , mon corp fremissé au contact

Mes paupières tous aussi lourde , je ferma les yeux ...........

:- hé debout ! Fis une voix au dessus de moi

  >>Louwana<<Où les histoires vivent. Découvrez maintenant