chap. cinq ,, petit mot

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— Rin’ ! Rin’ ! chantonna une voix fluette dans le couloir

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Rin’ ! Rin’ ! chantonna une voix fluette dans le couloir. Dépêche toi, on va être en retard !

Juste après, une multitude de petits pas se firent entendre tandis que la plus petite courait à toute vitesse dans la maison.

Cours pas dans les escaliers Kyō’. Lui répondit son interlocuteur avec mollesse, comme presque chaque matin.

Il noua négligemment sa cravate rouge, avant de jeter son sac sur son épaule. Alors qu’il était prêt à partir, son regard glissa sur le paquet de biscuits posé sur son bureau.

Rin’ !!

J’arrive Kyō’, râle pas.

Après quelques secondes à peser le pour et le contre, l’adolescent enfourna finalement le paquet de bâtonnets dans son sac, avant de rejoindre la brune dans l’entrée, qui se plaignait de sa lenteur.

On revient ce soir ! s’exclama joyeusement la fillette à leur paternel affalé dans le canapé.

Il ne lui répondit pas. Sans surprise. Rintarō le fusilla du regard quelques maigres secondes, avant de retenir un soupir qui menaçait de s’échapper d’entre ses lèvres. Il entoura la main de celle à ses côtés de la sienne et se dépêcha de sortir de cette pièce qui était étouffante, sans la présence de leur mère.

𝐈𝐍𝐒𝐎𝐌𝐍𝐈𝐀𝐐𝐔𝐄𝐒 ,, r. sunaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant