Les feuilles de l'extérieur
Tombent et se meurent
Comme le font les pleurs
De mon silencieux cœur.Et c'est pour ça que je vais à Pékin.
Là où les gens sont malins.
Je saurai combler le rien
Avec la paix du bien.C'est l'automne en mon cœur,
Mais aussi sur la cité pékinoise.
Là où mes cendres étaient ardoises,
Pékin a rallumé un brin de chaleur.
VOUS LISEZ
Coésie avec @NsStip
PoesíaIci, ce sera un recueil de poèmes où je publierai des réponses aux poèmes des @NsStip et elle fera de même.