Massacre Passionnel à Paris

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DISCLAIMER : Cette histoire contient des passages relatant des actes de violence extrême perpétrés à l'encontre d'êtres humains et d'animaux. Je ne cautionne en aucun cas tous actes de violences à l'égare d'êtres humains ou d'animaux.


Paris, 3 juillet 2024

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C'est un jour de début d'été comme les autres à Paris. Le ciel bleu étincelant sans un seul nuage et un soleil rayonnant était de sortie ce jour-là.

L'odeur de l'urine venant des abords de la gare et s'imbibant temporairement et légèrement dans les tissus de ma tenue de bureau, sans oublier l'odeur des clochards qui font la manche dans la gare de l'Est qui me vint au nez en sortant du transilien.

Je continue à marcher vers la partie Est de la gare afin d'accéder au métro. Alors que je marche, l'odeur du McDonald's me titille le nez. Dans la pensée de faire plaisir à l'élu de mon cœur, je me rends à la borne de commande.

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Cette fille, c'est tout ce qui est de plus cher à mes yeux. Je sors avec elle depuis mes 16 ans, ce sont mes premiers baisers, mes premiers câlins, mes premières relations sexuelles dans les toilettes publiques du McDonald situé à la place de la République alors que ces parents me détestaient et refusaient qu'y ait toute relation entre moi et leur fille.

Dans ces moments où j'étais au bord du suicide, elle m'a réconforté et montré que la vie n'est pas qu'amertume. Elle m'a montré que je pouvais vraiment être aimé.

C'est vrai qu'elle avait un peu ce côté nymphomane, et que même dans les moments où je pleurais, ça lui arrivait de me prendre la main pour la passer dans sa culotte en la collant à ses lèvres pour y faire des va et vient mais bon après tout, c'est l'amour, c'est mon rôle aussi de lui faire du bien.

Parfois, quand j'allais dormir chez elle en cachette, ça m'arrivait de m'endormir soudainement dans ces bras et de me réveiller avec le pénis recouvert de ce qui semblait être un liquide plutôt visqueux et incolore dans mon caleçon. Enfin, je dis parfois, mais c'était toutes les fois où j'allais chez elle. Je ramenais tout le temps un McDo pour elle et moi, je me mettais en pyjama et on se faisait des soirées tranquilles devant Netflix.

Au final, au bout de 3 ans, malgré la désapprobation de ces parents, on a fini par emménager ensemble. Je suis tellement heureux avec elle, que cet amour ne peut pas être compris avant d'être ressenti.

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« Hum, alors.. » Je pris le temps de sélectionner doucement les menus. Après tout, je venais de sortir du bureau beaucoup plus tôt que prévu, rien ne me pressait à part l'envie de revoir l'amour de ma vie. Cette fille, c'est tout mon monde, je donnerais ma vie pour elle. Mon amour d'enfance et mon plus grand amour, je la connais depuis nos 16 ans et dans 1 mois tout pile, ça fera 12 ans qu'on est ensemble.

Après avoir payé à la borne et pris ma commande, je me dirigeai vers l'escalator pour aller dans les sous-sols et accéder au métro. Les sans-abris assis habituellement à l'entrée semblaient fixer mon sachet qui contient ma commande, comme tout bon Parisien, je l'ignore. « Qu'il aille travailler pour s'acheter sa nourriture ! La vie, c'est pas gratuit ! » .

En passant les portiques à tourniquet en entrant dans la station "Gare de l'Est", un jeune adolescent ayant probablement 16 ans à tout casser avec un tee-shirt blanc tâché de graisse, un pantalon en jean décoloré et avec des chaussures Adidas complètement trouées et sales, fait un saut derrière moi dès lorsque je franchis les portiques. « Pff, petit con, va te laver le sac à merde, si seulement quelqu'un pourrait lui faire la remarque. Il sent les fruits de mer, c'est une atrocité ».

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⏰ Dernière mise à jour : Jul 04 ⏰

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