A force de sentir l'odeur continuelle du souffre dans mon nez, j'ai finis par ne plus rien ressenti, que ce soit en coups comme en odeur,
Je commence à peine à sortir de l'enfer, que mes yeux commence à s'ouvrir, à peine je vois la réalité, que je me rends compte qu'il n'y a pas de différence avec l'enfer, la seule différence qu'il puisse avoir, c'est je ne brûle pas par le feu, mais que là je suis consumé de chagrin,
Mon âme cris délivrance, car elle sait qu'elle périras si elle n'est pas sauvée,
Mais de toute façon qu'importe, toutes les âmes crient en même temps et résonne à l'unisson sur la chanson de la mélancolie,
La question n'est plus de savoir qui se fera pardonner, mais qui se fera moins brûler en restant assez proche de la porte de la rédemption,
Là, il est question de la chaîne de flamme ardente qui brûle du moins factice au plus factice,
Autrement dit de la personne qui s'attache moins à ce monde, qu'à celle qui s'attache plus,
Car, celle qui s'attache moins est en voie pour le pardon.
VOUS LISEZ
Les vérités du monde
Poetryceci n'est pas une histoire en temps réel, c'est un recueil poétique, qui définit le ressenti, et le vécu quotidien. c'est un recueil qui met les mots sur ce que nous ressentons, chaque poésie a sa réalité, et fait suscité divers émotions.