"Entre amour et tension"plonge les lecteurs dans l'antagonisme de Jordan Bardella et Gabriel Attal, deux adversaires politiques. Initialement méfiants, ils sont forcés de collaborer face à une menace mystérieuse. Entre filatures nocturnes et piratag...
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Chapitre 6 : Romantisme sous Tension
Les premiers rayons du soleil perçaient à peine le voile de la nuit lorsque Bardella et Attal se retrouvèrent de nouveau en pleine action. Ils avaient convenu de se rencontrer à l'aube dans un petit café discret à Montmartre. Assis à une table isolée, ils échangèrent des regards furtifs, scrutant les visages autour d'eux pour détecter toute trace de danger.
"Nous devons agir rapidement," murmura Bardella. "Nos ennemis gagnent du terrain chaque jour."
Attal acquiesça. "Il semblerait que nos adversaires soient liés à une organisation plus vaste que nous ne le pensions."
"Quel genre d'organisation ?" demanda Bardella.
"Une faction paramilitaire avec des connexions au sein même du gouvernement," répondit Attal.
Le silence s'installa entre eux, lourd de menaces. "Nous devons infiltrer leurs rangs," dit Bardella.
Attal hocha la tête, bien qu'une lueur d'inquiétude traversât son regard. "Et si nous nous faisons prendre ?"
"Nous ne pouvons pas penser à ça maintenant," répondit Bardella. "Nous devons rester concentrés."
Le plan fut mis en place rapidement. Bardella, avec ses compétences en infiltration, jouerait le rôle principal, tandis qu'Attal fournirait un soutien logistique et stratégique.
Quelques jours plus tard, Bardella se retrouva dans un entrepôt abandonné à la périphérie de Paris. Sous une fausse identité, il s'était introduit dans une réunion secrète. Pendant ce temps, Attal surveillait les communications depuis une camionnette non loin, prêt à intervenir à la moindre alerte.
De retour de l'entrepôt après avoir échappé de justesse à une détection, Bardella retrouva Attal. "Nous avons ce qu'il nous faut," dit-il, tendant un carnet de notes rempli d'informations précieuses.
Attal sourit. "Nous y sommes presque."
Ce soir-là, après avoir débriefé chez Attal, ils s'assirent sur le canapé, une bouteille de vin entre eux. La lumière douce des lampes créait une ambiance intime.
"Tu sais, Jordan," commença Attal d'une voix douce, "tout cela... où cela nous mène-t-il ?"
Bardella plongea son regard dans celui d'Attal, captant le sous-entendu de sa question. "Gabriel, je... nous devons rester concentrés sur la mission. Mais..."
Mais soudain, le téléphone de Bardella vibra avec insistance, brisant le moment. Ils sursautèrent, et Bardella décrocha rapidement, son expression se durcissant.
"Quoi ?... Oui, d'accord. Nous arrivons," dit-il avant de raccrocher.
"Qu'est-ce qu'il se passe ?" demanda Attal, l'inquiétude se lisant sur son visage.
"Un de nos informateurs a des nouvelles urgentes. Nous devons y aller."
Ils éteignirent les lumières et se glissèrent vers la fenêtre, prêts à affronter les défis imprévus qui les attendaient, tout en gardant la force de leur lien toujours intacte. Mais alors qu'ils se préparaient à partir, une question demeurait suspendue dans l'air :
où les mènerait cette mission, et comment cela influencerait-il leur relation naissante ?
