LES ABUS SEXUELS

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Éliel dort confortablement. Georges ouvre la porte de la chambre s'approche lentement d'Eliel, Georges se tient au chevet du lit, s'assoit à côté d'Eliel et passe sa main sur son corps.
Eliel se réveille de son sommeil en sursaut, Georges sort une arme et la pointe sur la tête d'Eliel. Georges fait signe à Eliel de fermer sa bouche et de ne pas crier. Ensuite, Georges se lève et se déshabille.

Eliel est assis sur le lit en train de pleurer amèrement, elle est couverte de draps. De plus, il y a des traces de sang sur le lit, elle vient de perdre sa virginité.

Georges est dans chambre d'Eliel. Il éteint la lumière, puis sort un couteau et un foulard. Georges dépose le couteau sur l'armoire et prend le foulard pour fermer la bouche d'Eliel afin de l'empêcher de crier. Eliel ne bouge pas et qu'elle est droguée. Georges fait tourner Eliel et se déshabille.

Eliel est dans la cuisine en train de cuisiner, elle tremble en cuisinant. Elle a peur que Georges entre dans la cuisine.
Alors qu'elle est occupée en cuisine, Georges pénètre dans la pièce vêtu d'une culotte rouge, tenant une arme à la main et touche l'épaule d'Eliel.

GEORGES : J'ai besoin de toi, et toi tu es occupé à faire la cuisine. Ne t'ai-je pas dit que dès que tu me vois, tu dois enlever tes vêtements avant même que je te le demande.

ELIEL : *En pleurant*Pourquoi te comportes-tu ainsi envers moi ? Ne suis-je pas l'enfant de ta femme ? Je te considère comme mon père, et pourtant tu ne cesses de me violer à chaque instant, de me droguer tous les jours. Tu viens dans ma chambre sans relâche, je ne suis qu'une enfant. Pourquoi détruis-tu ma vie de cette manière ?

GEORGES : *En haussant la voix*
Ferme ta bouche, enfant de qui ? Suis-je ton père ? Que ce soit la dernière fois que tu ouvres la bouche quand j'ai besoin de toi. Je t'ai trouvé dans la rue avec ta mère, je t'ai offert un toit. Que voulais-tu ? Que je te laisse comme ça sans rien faire ?

ELIEL : *En larmes* Maman est au courant de tout ce que tu me fais ? Est-elle au courant que tu détruis la vie de sa seule fille ? Tu n'as pas de cœur, tu es un monstre.

Georges lève la main et gifle Eliel.

GEORGES : Arrête de cuisiner, viens me satisfaire, allons dans la chambre.

Georges est en train de regarder la télévision lorsque Lucie ouvre fait son entrée dans la pièce avec sa valise, visiblement joyeuse.

LUCIE : *En riant* Mon amour, ta femme est de retour.

Georges se lève pour l'accueillir et la prend sans ses bras en riant.

GEORGES : Tu es la bienvenue chez toi ma femme.

LUCIE : *En riant* Merci mon amour, tu m'as tellement manqué, le sais-tu ? Où est notre fille ?

GEORGES : Elle est dans sa chambre. Tu as oublié que notre fille adore étudier à tout moment, elle est probablement en train d'étudier.

Eliel sort au salon, l'air sombre. Georges est derrière Lucie et fait un signe à Eliel pour l'empêcher de dire à sa mère sinon qu'il va les tuer tous les deux.

LUCIE : Ma fille maman est de retour, tu ne dis pas bonjour à ta mère.

Eliel s'évanouit.

LUCIE ; *Tente de réveiller Eliel*
Ma fille, que se passe-t-il ? Georges, notre fille s'est évanouie. Ma fille, ta mère est de retour. Pourquoi t'évanouis-tu, ma fille ? Réveille-toi.

GEORGES : Eliel réveille-toi ma fille.

LUCIE : Georges va préparer la voiture, nous allons amener notre fille à l'hôpital.

Georges et Lucie sont dans la chambre. Lucie est debout et Georges est assis sur le lit.

LUCIE : Chéri, je m'inquiète pour notre fille. Comment se fait-il qu'elle ait pu s'évanouir en me voyant ? Normalement elle aurait dû être contente de m'avoir vu.

GEORGES : Ne t'inquiète pas, ça arrive. Peut- être qu'elle était contente de te voir. Le docteur a dit que c'est la malaria qui la dérange. C'est seulement aujourd'hui que tu es rentré, ne t'inquiète pas trop pour elle.

LUCIE : Je m'inquiète pour ma fille.

GEORGES : Je vais aller la voir, lui parler. Je viendrai te dire ce qu'elle me dira, d'accord ?

LUCIE : D'accord mon amour, je veux qu'elle soit heureuse, merci d'être là pour nous.

Eliel est assis sur le lit en train de pleurer. Georges entre dans la pièce, provoquant la peur à Eliel.

ELIEL : *En larmes* Tu es encore là ?

GEORGES : Ferme-là. Ta mère s'inquiète pour toi. Ne révèle rien à ta mère sur ce qui se passe entre nous, sinon je vous ferai du mal à tous les jours deux.

ELIEL : Sors de ma chambre.

GEORGES ; Ta chambre ? Quand je t'ai recueillie dans la rue. Tu as apporté la chambre avec toi ? Si ta mère te demande pourquoi tu t'es évanoui, dis-lui que tu avais des vertiges. Tu aimes ta mère n'est-ce pas ? Alors fais ce que je te dis, sinon je commencerai à faire du mal à ta mère.

ELIEL : Tu as déjà détruit ma vie, tu m'as déjà fait du mal. Termine-le et laisse ma mère tranquille.

GEORGES : *L'air sérieux*
Ne ferme pas la porte de ta chambre la nuit, je viendrai pour continuer ce que nous faisons d'habitude. Je ne plaisante pas.

MON ENFANCE A ÉTÉ VOLÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant