Chapitre 3: Extra ordinaire

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Ma nuit fut très agité. Tout les souvenirs du futur me sont revenu et c'était vraiment horrible. Je n'arrive pas a réaliser que dans six jours ça va être l'apocalypse. Je me réveilla en sursaut. Je suais et tremblais. Je mis ma main sur mon cœur et le senti battre anormalement vite. Je pris une grande inspiration. Je tourna la tête pour prendre de l'eau et je tomba presque de mon lit en voyant Cinq qui me regardait depuis tout ce temps.

"Putain, on t'as jamais appris à toquer ?!

Pas besoin de toquer quand on est bloqué dans l'apocalypse. 

Tu marques un point mais là on est plus dans le futur alors on toque avant d'entrer. Encore plus si la personne en question dors.

Aller grouille toi on as des investigations à mener. dit-il en commençant à sortir.

J'arrive !"

Je me prépara vite fait et le rejoins dans sa chambre. Il était juste à côté de sa fenêtre ouverte un grand sac sur les épaules. Il sortit et je le suivis. On commença à descendre une échelle quand on remarqua Klaus qui fouillait les poubelles. Il parlait tout.

"Fait chier, les trucs de papa son introuvable. Oh la ferme. Tu vois pas que j'essaye de trouver les trucs soit disant précieux qui était dans cette précieuse boîte. Faudrait que Pogo ME LACHE LE BASQUETTES !! continua-t-il en criant.

J'allais te demander ce que tu faisait Klaus mais en fait je viens d'avoir une révélation: J'en ai rien à foutre.

Vous savez, y a plein de sorti moins casse gueule que celle là.

C'est celle qui impliquait le moins de bavardages de toutes.

C'est ce qu'on croyait en tout cas. continuais-je.

Attendez une secondes, vous avez besoin d'un peu de compagnie aujourd'hui. Si vous voulez, je peux essayer d'annuler mes rendez-vous.

Oh nan, ta poubelle chéri t'attends à moins que tu doive aller en désintoxe, encore. répondis-je sarcastiquement.

La poubelle, je la fais quand je veux et pour tout te dire, j'ai égaré quelque chose en faite. Ah bah je l'ai retrouvé ça y est. dit-il en ressortant de la poubelle avec un demi beignet.

On en a marre de financer ta toxicomanie. 

Oh ça va, c'est rien peut être que j'ai juste envie de trainer avec mon frère. Mi hermano ! Je t'aimes !! continua-t-il de crier."

On s'échappa vite de se calvaire avant d'entre dans un vieux vanne. Cinq démarra et on partit en direction de l'hôpital. On regarda les gens passer devant mais notre attention fut amener vers quelque chose de bien plus gros. M. Biggs était devant, une espèce de boîte à la main. Il regardait partout autour de lui comme si il attendait quelqu'un ou quelque chose. Il finit par renter à l'intérieur toujours en jetant un coup d'œil derrière lui. Cinq se retourna vite.

"Et merde. dit-il en ouvrant le sac. Salut, désolé de t'avoir laisser la dedans tout ce temps. continua-t-il en sortant cette fois une bouteille de vodka puis Dolores. Non j'uis pas soul Dolores, j'uis en mission. Ca a un rapport avec l'œil oui. C'est le labo qui la fabriqué ou qui le fabriquera.

Cinq, je t'en supplie arrête de parler tout seul."

Visiblement vexé, il se retourna vers le labo et ne m'adressa plus un mot. On continua à attendre pendant plusieurs heures. Au bout d'un moment, je passa à l'arrière pour écrire se qu'on avait vu ou plutôt ce qu'on avait pas vu. Cinq se mit à fixer les enfants qui passait dans la rue en jouant au ballon.

"Bah alors Cinq, on est nostalgique de sa jeunesse. il ne me répondit pas. Cinq oh, ça va ? Cinq ? Cinq ?"

Je me leva et me mis à le secouer pour qu'il se "réveille."

"Ca va ?

Oui oui. T'inquiètes pas."

On entendit des coups à la vitre. C'était Luther, il ouvrit la porte et essaya de rentré tant bien que mal dans le petit fourgon.

"Ca va ?

Tu devrais pas être-

Comment tu nous as retrouvé ? le coupais-je.

Bah euh, ouais. dit-il en même temps que Klaus débarqua à l'arrière avec moi.

Putain j'ai failli avoir une crise cardiaque. Fait pas ça espèce de con.

Et j'ai le droit d'avoir un peu d'intimité. Je sens que le courant passe bien. dit-il en serrant Dolores dan ses bras, pas de doute Cinq va le défoncer.

Dégage t'as rien à faire ici ! cria-t-il en lui jetant une canette à la tête. qu'est-ce que j'avais dit. Je suis occupé ça se voit pas ?!

Vous avez réussi à le retrouver votre borgne ?

La ferme. dis-je en lui mettant ma main sur sa bouche.

De quoi il parle ?

On s'en fout non ? C'est Klaus. Qu'est-ce que tu veux Luther ?

Grace est peut être impliqué dans la mort de papa. Faut que vous reveniez à l'académie tout les deux, c'est important.

C'est important hein ? Tu n'as aucune idée de ce qui peut être important.

Hé, je vous ai déjà raconter la fois où j'ai voulu m'épiler l'anus avec de la crème au chocolat. fit-Klaus en se mettant à rire.

Pourquoi t'es encore là toi ? dit Luther qui commençait à s'énerver.

Quoi ? J'ai besoin d'une excuse pour trainer avec mes frères tu veux dire ?

On essaye de parler sérieusement, c'est tout ce que je veux dire.

Tu veux dire que je suis pas capable de me montrer sérieux c'est ça ?

Luther a pas tord alors casse toi.

Ils ont raison Klaus, on a rien à faire ici. finis-je en ouvrant la porte."

On sortit tout les deux pour les laisser parler entre frères sérieusement. On partit un peu plus loin. On s'est assis sur les marches d'un immeuble un peu plus loin. Puis Klaus se précipita à l'intérieur d'un magasin au coin de la rue et y vola plein de choses. Il finit par s'enfuir en criant "Hé les salopes !" pour être sûr que les gars l'avait vu. Toujours pourchasser par les fliques il entra dans un Taxi et prit la fuite. Je remonta à l'arrière de la voiture. 

"Luther, je crois que tu va devoir aller le chercher.

Je crois aussi. Bon j'y vais mais n'oublie pas ce que je t'ai dit Cinq."

Luther sortit du fourgon et je me remis à l'avant. Cinq me regarda. Je lui fit un sourire giga hypocrite avant de me retourner vers la fenêtre côté passager. Je sentis son regard sur moi pendant encore un petit moment mais il finit par se retourner lui aussi. Alors que la nuit commençait à tomber, la faim prit le dessus sur ma paresse. J'ouvris la porte et tout de suite Cinq se retourna.

"Tu fais quoi ?

C'est bon lâche moi un peu. J'vais chercher à manger calme toi un peu.

Fais attention il va faire nuit.

Parce que tu t'inquiètes pour moi maintenant. Quel hypocrite."

Je claqua la portière derrière moi et commença à marcher. Alors que j'étais en train de m'éloigner j'entendis une voiture arriver. Je me retourna et examina la scène. M. Biggs était en train de fourrer un gros sac noir à l'arrière de la voiture. Il pris quelque chose dans la main du conducteur avant de le ranger dans son manteau. Je me téléporta vite dans la voiture. 

"Il foutait quoi ?

Je sais pas mais rien de bon si tu veux mon avis. Il faut qu'on le retrouve."

J'hocha la tête et on se re téléporta. Abandonnant le fourgon, le sac et Dolores. 

Notre futur... (Cinq x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant